I need your help feat Mavie

"Love me, even if it kills us both"

L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine

Comme toujours, je me levai à la même heure, je me lavais me préparer à la même heure, je prenais mon café à la même heure et je partais au travail à la même heure... J'arrivais ainsi au travail comme tous les jours... A la même heure. Une fois au travail, je fis comme d'habitude également, je saluais mon personnel, prenait mon courrier à l'accueil et alla dans mon bureau où je savais que d'ici cinq minutes j'aurais mon café au lait avec une tonne de sucre. Comme toujours, j'allumerais mon ordinateur en mettant en haut parleur ma messagerie tout en ouvrant mon courrier.

Après avoir étudier et pris des notes de mes messages vocaux, fait le tri dans mes courriers où mon assistante fera le reste, je me mis sur ma boite mail où je savais que j'avais des rendez-vous. J'avais à la suite de mon café un bon nombre de script à lire et attendant une réponse de ma sœur si oui ou non je les publierais. Enfin tout cela était ma routine, de cette routine les seules choses qui changeaient vraiment étaient mes rendez-vous et les romans à étudier... Et encore parfois, même cela était répétitif.

Enfin bon, je regardais mon emploi du temps et vit que j'avais un rendez-vous avec Pipper Hermann. Je connaissais bien cette personne de part le fait qu'elle travaillait pour moi, nous étions collègue dans la même maison d'édition où elle avait décidé de me suivre quand j'avais décider d'ouvrir ma propre maison d'édition. Je lui en serais toujours reconnaissante d'avoir cru en moi alors que beaucoup de personnes pensaient que j'étais trop jeune, ayant pas assez d'expérience, des personnes qui pensaient que j'allais droit dans le mur. Maintenant je sais que ce n'étaient que des jaloux et des personnes qui avaient de mon succès et être dans l'ombre.

Il avait raison d'avoir peur car elle faisait de plus en plus ses preuves et nous recevions de plus en plus de clients, d'ailleurs, je devais même embaucher des personnes car nous n'étions plus assez d'éditeur pour tous les hauteurs que nous avons. Le pire dans tout cela, ou bien même le mieux, c'est que beaucoup de ceux qu'on avait éditer, ont été de très grand succès. Nous commencions de plus en plus à être une référence. J'étais vraiment fière de moi.

Après avoir fait tout ce que j'avais à faire, j'appelais ma secrétaire pour lui faire savoir que j'étais prête à recevoir Pipper. Je me demandais bien ce qu'elle me voulait pour le coup. C'est après un moment que je ne vis personne entrer dans mon bureau, pourtant ma secrétaire m'avait certifié que Pipper était là. Je me décidai de me lever en soufflant et d'aller voir par moi-même. Je vis alors la jolie rousse en train de lire un magasine « On peut changer de créneau de rendez-vous si tu juges utiles que ton magasine est plus intéressant » Dis-je de manière autoritaire, mais en souriant doucement quand même.