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 Quand le passé refait surface FEAT GARRETH

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MessageSujet ☆ Re: Quand le passé refait surface FEAT GARRETH   
le sujet à été posté Ven 6 Déc - 23:15


Quand le passé refait surface

Just don't go. Meet me in the afterglow

J’ai envie de l’aider. Je ne comprends pas ce qui me prends, et ceux qui savent combien j’étais brisé en sortant de ma relation avec Keira me diraient sans doute que j’ai perdu la tête. Mais au plus profond de mon cœur, je sais que son sourire, si précieux, me manque. J’aimerais le voir s’afficher sur son visage. Je sais que c’est trop demandé. Je sais qu’elle ne m’offrira pas un sourire. Je ne peux pourtant pas m’empêcher de le souhaiter. Je veux qu’elle soit heureuse. « Ils m’ont volé mes émotions... ils m’ont tout pris. Je ne sais pas si... je pourrais de nouveau... Je ne sais pas... » Son regard m’a échappé à nouveau. Elle ne répond pas à ma question, mais en même temps je n’insiste pas. Elle semble persuadée qu’elle ne ressent rien tandis que pourtant, à son visage, à son regard, je vois tout le contraire. Elle a été brisée, salie. Et alors je me dis que j’ai bien fait de ne pas l’avoir laissée seule quand elle a fui la bibliothèque. Qui sait à quel point elle se sentirait seule en ce moment ?

Son regard est traversé par de vieux démons, ce qui la pousse à fermer les yeux. Moi, je ne bouge pas d’un centimètre, comme pour lui faire comprendre qu’elle peut s’appuyer sur moi. Elle a besoin d’un pilier solide sur lequel s’appuyer, et je peux jouer ce rôle aujourd’hui. Ou même aussi longtemps qu’elle en aura besoin. Je la regarde fermer les yeux, comme si elle cherchait à garder le contrôle sur un monstre qui viendrait prendre le dessus. Je regarde cette seule larme couler sur sa joue et si je n’avais pas peur qu’elle me repousse, je l’essuierais moi-même. Je ne veux pas en revanche qu’elle ait peur de moi. Quand son regard se pose à nouveau dans le mien, c’est à peine si je cligne des yeux. « Je vais te dire ce qui m’est arrivé... » Je suis surpris, sans le montrer. Je n’ai pas l’habitude qu’elle accepte de se confier à moi. C’était déjà difficile par le passé, et je croyais que ça l’aurait été davantage maintenant. Surtout que je lui ai dit que je ne lui poserais aucune question sur le sujet. Je reste donc silencieux. J’ai envie de lui dire qu’elle n’est pas obligée de m’en parler, sachant que ce sera difficile pour elle, mais je me retiens. Les mots restent coincés dans ma gorge. Je crois en revanche que mes yeux le communiquent amplement. Avec certaines personnes, parfois, les mots ne sont pas nécessaires, et le silence fait très bien le travail. En ce moment, c’est le cas, avec Keira.

« Il... je ne sais pas comment je me suis retrouvée là-bas. Une pièce noire... j’avais si froid. Je portais... un drap... une guenille. » Le début, est déjà difficile. J’ai envie de prendre ses mains pour la soutenir mais encore, sa réaction à la bibliothèque m’en empêche. Je n’ai pas envie de lui faire peur, surtout au moment où elle raconte une histoire pareille. Du coup, je reste en silence, la regardant et l’écoutant. J’ai le cœur lourd. Un déchet ? Ils l’ont détruit. Ils ont frappé sur une femme déjà à terre, ces lâches. Keira n’a jamais été un déchet. Et j’aimerais tellement qu’elle le sache, qu’elle me croit. Mais à force de se le faire dire par ses kidnappeurs, j’imagine qu’il lui sera difficile de croire autrement… Enfin, je ne sais pas non plus.

Quand elle ferme ses yeux, je la vois se crisper comme si elle ressentait encore ce qu’elle a vécu en ce temps. Le cerveau nous joue des tours de cette façon. En même temps, la torture dont elle a été victime, ce n’est pas quelque chose qu’elle pourra oublier. J’aimerais pouvoir dire qu’elle arrivera à l’oublier un jour, mais je mentirais. Ce genre de traumatisme, on ne les oublie pas. On apprend à vivre avec. Sur le visage de Keira coulent de nouvelles larmes qui m’arrachent le cœur. Je souffre. J’ai envie de lui enlever sa peine, la vivre à sa place. Me sacrifierais-je pour elle ? Oui, sans doute… Et me dire ça, ça me fait peur, un peu. Mais ce n’est pas vraiment ce qui me préoccupe dans la seconde. Sa souffrance me brise le cœur, et pourtant, alors que des larmes montent à mes yeux malgré le fait que j’essaie de rester fort, je continue de l’écouter et souffrir avec elle.

Keira m’explique alors qu’elle ignore comment elle a réussi à s’échapper. Elle me raconte ce dont elle se rappelle, des blessures, du sang, de l’air de l’extérieur… Elle fini par ouvrir les yeux pour me dire qu’elle a été tuée. Je soutiens son regard, même si j’ai envie de le baisser pour qu’elle ne voit pas les larmes qui menacent de couler depuis si longtemps. Non. Son histoire me touche et c’est bien si elle le voit, je crois. Je ne me moque pas, elle n’est pas un phénomène de foire. Je n’ai pas non plus pitié et ça se voit. Je souffre réellement, pour elle.

Si jusqu’ici ses larmes étaient silencieuses, je vois soudain une Keira en sanglot, baissant la tête en me demandant comment une morte peut ressentir quoi que ce soit. C’est là, maintenant, que mes larmes décident de couler. Sa tête vient alors rencontrer mon cœur et sans que j’aie le contrôle de quoi que ce soit, mes bras viennent l’entourer. Je garde le silence quelques secondes. Je dois me reprendre. Je dois rester fort. Je dois arrêter de pleurer. J’inspire donc profondément, caressant ses cheveux comme si c’était le geste le plus naturel au monde. « Je suis tellement désolé. » Je n’ai aucune raison de m’excuser, je sais bien. Ce n’est pas de la pitié, non plus. « Je ne peux pas m’empêcher de me dire que les choses auraient pu être différentes si j’étais resté… » Et je me déteste alors de dire ça. Je veux pouvoir prendre la responsabilité sur mes épaules, mais je ne peux pas me blâmer, et je ne veux surtout pas ramener ça à a personne. « Keira, tu n’es pas morte. Ils ne t’ont pas tuée. Ils t’ont brisée. Sinon, tu ne souffrirais pas de la sorte. » Je me racle la gorge, ce qui m’aide à reprendre mes esprits et retenir mes larmes à nouveau. Je continue de la serrer contre moi, sans pour autant la serrer assez fort pour la retenir. Elle peut s’éloigner à tout moment, quand elle le veut. « Mais un cœur brisé, ça se répare. » Si ça se trouve, je suis le seul à savoir cette histoire avec autant de détails, et je ne veux pas la décevoir. C’est un privilège auquel je tiens énormément. Je la regarde alors et essuie l'une de ses joues, le regard bienveillant et plus sincère que je ne l'ai jamais été. « Tu n'es pas un déchet. Tu ne l'as jamais été. Tu ne le seras jamais. »

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MessageSujet ☆ Re: Quand le passé refait surface FEAT GARRETH   
le sujet à été posté Mar 17 Déc - 11:37

Je craque. Je n’ai encore jamais craqué. Pourtant… lorsque j’étais à l’hôpital en psychiatrie j’aurais pu craquer. Mais je me contentais de hurler et de refuser de parler, m’enfermant sur moi-même en créant cette carapace que je viens de briser en une fraction de seconde. Je pensais que cela me détruirais. Cela fait mal oui… mais je me sens libérée. Je pensais qu’en parlant de tout cela, cela finirait de m’achever. Mais au contraire. Je pose ma tête sur son torse. Je pleurs. Le silence vient être comblé par l’écho de mes plaintes tandis que je ne vois pas la réaction de Garreth. Mais ses bras viennent m’entourer et alors que je pensais le rejeter je ne résiste pas et m’abandonne complètement. Je l’entend renifler et sent une larme tomber sur ma joue. Il pleurs. Nous pleurons ensemble. Je ne comprend pas pourquoi il pleurs. Mais je suis trop faible pour réagir. Je laisse mon corps se vider de ce traumatisme et la chaleur de ses bras m’aide. Je me sens mieux. En sécurité. Je n’ai plus peur. Et dans un sens… tout cela me fait peur. J’ai peur de tout gâcher de nouveau. Mais moins qu’avant. Je ne sais pas ce qu’il se passe. Ce moment reste figé dans le temps. Tout semble se mouvoir au ralenti. Sa main vient caresser mes cheveux. J’inspire en même temps que lui. Pourquoi s’excuser. Je ne comprend pas. Il se demande si les choses auraient pu être différente. Je ne pleurs plus. Du moins ne gémis plus. Les larmes coulent encore sur mes joues mais je me sens plus apaiser. Je l’écoute. Il me serre. Pas trop fort. Mon coeur bat. Je ne sais pas s’il bat parce que je suis dans cet état ok parce que c’est lui. Je me sens étrange. J’écoute.

Je suis brisée. Je ressent. Je sais qu’il a raison. Mais je doute encore. Mais je sens quelque chose en moi qui semble peu à peu se réparer. A-t-il donc tant d’impact sur moi. A l’époque je ne m’en rendait pas compte. Il semble qu'aujourd'hui tout est différent. Il dit que je peux réparer mon coeur. Que ça se répare. Je relève mes yeux humides sans pour autant m’éloigner. Nous sommes si proche. Mais cette proximité ne me dérange pas. Il vient essuyer mes joues. Mes paupières se ferment sans que je ne m’en rende compte. Ce contact est chaud tout en continuer de me brûler un peu. Cette cicatrice ne dispara donc jamais. La douceur dans son regard aussi humide. La sincérité. Tout cela me fait quelque chose sans que je ne le comprenne encore. Je suis encore trop instable. Il me dit que je ne suis pas un déchet. Ses mots me font chaud. Mon coeur me brûle. Mais cette brûlure fait du bien. Je ne sais pas quoi lui dire. Je ne trouve pas les mots. J’ai l’impression de flotter. Je lève alors une main vers lui. Vers son visage. Un doigt vient essuyer une larme. Puis ma main vient se poser sur sa joue. Je le détail. J’essaie de comprendre comment il peut être aussi parfait. Il ressemble plus à un prince que moi à une princesse. Le temps et l’espace restant en suspens. Je ne sais pas quoi faire. Ni quoi dire : « je... » je mord ma lèvre. Mon regard veut se perdre mais je suis comme attirer par ses prunelles. Je ferme alors les yeux et avance alors. Mes lèvres viennent se poser sur sa joue. Si proche de ses lèvres. Puis dis dans un souffle : « apprend moi... » apprend moi à ressentir. Apprend moi à vivre. Apprend moi à aimer.

Alors que je reprend conscience de la réalité je me rend compte de ce que je viens de faire. Je me recule. Puis comme gênée je ne sais pas quoi dire. Mais tout viens s’arrêter quand mon téléphone se met à sonner. Je le prend maladroitement. Rapidement. Je répond. C’est ma mère. Je raccroche. Et je me tourne vers lui en laissant quelques secondes passer: «  il faut que j’y aille » et voilà. C’est tout moi. Me revoilà celle que j’étais il y’a quelques secondes. C’est un reflex. Une habitude. Un moyen de défense. Je me rend compte que je suis devenue vulnérable l’espace d’un instant.  Et même si je me suis sentie bien… j’ai trop peur de prendre ce risque. Le risque d’être détruire. Et de détruire. Le naturel revient au galop. Je me lève. J’évite son regard: «  on s’appelle » je dis alors en faisant volt face, descendant du rocher et m’éloignant à une allure plus rapide que naturelle. Mon coeur ne veut pas arrêter de tambouriner. Je suis perdue. Je ne sais pas quoi penser. Ou est-ce que je vais. Qu’est-ce que je fais. Je n’ose pas me retourner. Va-t-il me rattraper. Je me surprend à avoir des images dans ma tête. Des scénarios. Alors qu’autrefois. Tout n’était que chaos….

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MessageSujet ☆ Re: Quand le passé refait surface FEAT GARRETH   
le sujet à été posté Mer 18 Déc - 0:18


Quand le passé refait surface

Just don't go. Meet me in the afterglow

Elle n’a jamais été un déchet. J’imagine que j’ai contribué un peu à ce qu’elle se sente de cette façon quand je lui ai dit ses quatre vérités, vérités que je ne pensais pas vraiment. Je dois réparer cette grave erreur. J’ai été odieux, comme je n’avais jamais été avant. L’accumulation de frustration, de tout ce que nous avions vécu, les vols, la drogue, j’imagine que ça m’a poussé à bout. Mais je n’aurais jamais dû partir. C’est la pire erreur de ma vie. À mes yeux, c’est l’équivalent d’avoir un patient sur le point de mourir et partir sans même essayer de la sauver. J’aurais dû la garder auprès de moi. J’aurais dû rester auprès d’elle. Peut-être n’aurait-elle jamais été enlevée. Et c’est pour cette raison que je lui présente mes excuses, lui expliquant ce sentiment que j’ai.

Elle n’est pas un déchet. En ce moment, je la vois comme un trésor précieux que je veux garder pour moi. Elle fait renaître en moi des sentiments que je n’ai jamais ressentis depuis que nous étions ensemble. J’ai peur de me l’avouer, mais je sais bien que je suis toujours amoureux d’elle. Je l’ai dans la peau. Mon regard dans le sien, j’ai envie de poser mes lèvres contre les siennes, de la serrer plus fort dans mes bras et de ne jamais la laisser me quitter. Mais je ne peux pas. À la place, j’essuie ses joues, effaçant les traces de ses larmes. Je lui dis alors ce que je pense. Je lui dis qu’elle n’a rien d’un déchet. Mais je me garde de lui dire qu’elle est merveilleuse, de peur de l’effrayer, ou de la faire fuir. Je ne sais pas sur quel pied danser. Je m’en sors bien jusqu’ici, mais je ne sais pas combien de temps j’arriverai à tenir encore avant de faire un faux pas.

Son doigt essuie ma joue, effaçant le cadavre d’une larme qui restait là pendant que mes yeux restent mouillés. Sa main entière se pose ensuite sur celle-ci, alors que son regard me détaille. Et cet effet qu’elle me fait… Je me souviens soudainement comment je me sentais quand elle posait les yeux sur moi. Cette électricité qui me foudroie délicieusement… Je me sens complètement attiré par elle, dans chaque cellule de mon corps. Je veux lui appartenir. Je veux l’aimer. Et j’ai peur de me condamner en me disant cela. J’ai peur, après tout. J’ai peur de revivre exactement ce que nous avons vécu avant.

Non. Je ne referais jamais la même erreur. Je ne lui ferais plus jamais le mal que je lui ai, peut-être, fait. Je serais plus attentif, si je pouvais être avec elle. Maintenant que je la comprends mieux, ce serait plus facile de l’aider. Mais… que dis-je ? Elle ne m’appartient plus.

Le silence s’installe entre nous alors que nous nous détaillons, nos regards enchaînés ensemble. Je n’arrive pas à décrocher mes yeux d’elle. Elle s’apprête à parler, mais sa phrase s’éteint aussi vite qu’elle a commencée. Elle se mord la lèvre, et je fonds. Mon cœur bat si vite, si fort, il pourrait me sortir de la poitrine. Et quand elle ferme les yeux, c’est pire. Je vois son visage s’approcher, je ferme les yeux. Ses lèvres rencontrent ma joue, si près de ma bouche qu’au contact, mes lèvres se place comme un pour un baiser. J’aimerais que le temps s’arrête. J’aimerais que nous restions comme ça, seuls au monde. Un murmure me parvient aux oreilles et j’ouvre à nouveau les yeux. Elle me demande de lui apprendre… Je suis prêt à lui apprendre absolument tout ce qu’elle voudra apprendre. « Tout ce que tu voudras. »

Et le moment se termine. Je crois que Keira réalise ce qu’elle vient de faire et s’éloigne du coup. Elle semble embarrassée, et ça me gêne un peu aussi. Mais juste un peu. En réalité, je crois que je suis trop aux anges pour faire, ou dire quoi que ce soit. Je suis sans doute un peu déçu qu’elle se soit éloignée, mais c’est sans doute mieux, pour elle. Quelques brèves secondes passent quand une sonnerie de téléphone vient interrompre ce moment. Keira répond à son téléphone, qui évidemment, n’est pas le même qu’avant. Elle n’a sans doute plus le même téléphone qu’avant. Elle l’a sans doute perdu quand elle a été enlevée. À entendre la conversation, je devine qu’il s’agit de madame Wilson. Elle est peut-être inquiète.

Quand elle raccroche, Keira prends quelques secondes pour me dire qu’elle doit partir. Évidemment. En même temps qu’elle, je me lève et le regarde s’éloigner avant qu’elle me sorte un « on s’appelle ». Je ne sais pas si c’est plus par formalité qu’elle me dit ça, ou si elle veut réellement qu’on s’appelle, mais je compte le faire en tout cas. Tout de suite, je n’ai pas du tout envie de la laisser partir. Elle s’éloigne donc et, confus, je mets deux ou trois secondes avant d’avancer pour la rattraper. « Keira, attends… » Je la rattrape donc et lui souris, replaçant ses cheveux derrières son oreille délicatement, tendrement, sans geste brusque. « Sois prudente en rentrant. S’il te plaît. » Je lui souris gentiment, mon regard brillant d’une lueur nouvelle, ou du moins d’une lueur qui ne s’était pas affiché depuis longtemps. « On s’appelle. » Sur ces mots, je la laisse filer. J’aurais préféré la ramener, mais je me doute qu’elle a besoin de son espace. Elle a sans doute besoin de réfléchir et je préfère lui laisser l’occasion de respirer et ne pas l’encombrer de ma présence.

En partant de la forêt, je me suis rendu directement chez moi, ayant complètement oublié la bibliothèque et le livre qui m’intéressait. Tout le long du trajet, j’ai pensé à elle, sans trop savoir si c’était une bonne idée que j’en parle à qui que ce soit. Quoi qu’il en soit, le soir-même, j’ai retrouvé le numéro de la maison des Wilson pour parler à Keira, question de m’assurer qu’elle était bien rentrée et qu’elle allait bien. J’espère au moins que ça lui aura donné l’impression que je tenais réellement à elle, que je ne plaisantais pas en lui disant que je serais là pour elle, et que je suis prêt à lui apprendre tout ce qu’elle voudra que je lui apprenne.

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MessageSujet ☆ Re: Quand le passé refait surface FEAT GARRETH   
le sujet à été posté Sam 28 Déc - 0:05

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MessageSujet ☆ Re: Quand le passé refait surface FEAT GARRETH   
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