Une visite imprévue feat Lucy et Liam

Une visite imprévue.

Lucy A. Callaghan

Liam Watts

Je venais d'être prévenu par l'hôpital qu'il y avait une suspicion de bébé secoué. J'aimais pas cela du tout, s'en prendre à des bébés me met vraiment en colère. Si je pouvais empêcher certains parents d'avoir des enfants je le ferais, mais mission impossible. Parce que là ce n'était pas la première fois. Et si les parents continuent ils vont tuer leur fils. Si le bébé pleure c'est pour une raison et ce n'était pas en le secouant qu'il arrêtera. Enfin je prends un collègue et on part direction l'hôpital. Et comme si on avait que cela à faire, les médecins nous disent d'attendre dans le couloir. Ils auscultent le bébé. Je regarde mon coéquipiers en disant. « Et pas de parents dans la chambre, ni dans le couloir. Ils en ont rien à faire de leur gamin ça me dégoûte.» Ça me rappelle mes parents aussi, je me débrouiller seul et ils en avaient rien à faire de moi ou de ma petite-soeur Brittany. Alors que je vois les médecins sortir, je m'avance parce que on devait voir le bébé et j'aimerais voir les parents, parce que le bébé de 6 mois il ne parle pas donc ça va être difficile. Alors que je m'avance pour entrer dans la chambre, mon regard se tourne vers une internet et je la regarde en deux fois, c'était la jolie Lucy oh my god elle est toujours aussi sexy et séduisante surtout avec sa blouse blanche, je souris bêtement en la voyant et je réalise mon collègue lui me regarde et m'attend. Je le regard d'un air un peu con et gêné. « va s'y entre j'arrive dans cinq minutes.» Je soupire et je trottine pour rattraper la jolie Lucy. D'un côté dommage qu'elle est une blouse je ne peux pas mater ses jolies fesses. Mais bon une tenue d'infirmière c'est trop sexy, enfin moi j'avais le flingue seulement ça peut exciter aussi non ? « Excuse-moi Lucy.» Je la vois se retourner et la la regarde avec le sourire et les yeux qui doivent pétiller. « Ce matin toi où un collègue à du recevoir un adolescent de 15 ans avec l'arcade en sang fallait le recoudre. Et on a su qu'il y avait des traces de bleues sur les bras. Enfin je pourrais avoir le dossier s'il te plait.» Je gardais mon sourire et je ne quittais pas ses yeux, ils sont si beau la regarder des heures c'est impossible de se lasser. Et la d'un coup je part dans un délire tout seul dans ma tête et même un beau fantasme. Celui de faire l'amour dans un hôpital et avec Lucy, je ne sais pas pourquoi je pense à cela d'un coup, mais j'étais en pleins dedans entrain d'imaginer et j'avais un sourire jusqu'aux oreilles ~~(façon de parler)~~. Faut que j'arrête de penser à ce genre de chose très dangereuse, manquerait plus que j'ai une érection j'aurais l'air trop con et j'oserais plus jamais la voir. C'est un bruit de brancard qui me fait sortir de mes folles idées...

Arrivée à Cape May : 13/12/2014

"Love me, even if it kills us both"

L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine

Il y avait encore une journée bien remplie à l’hôpital. Des journées de sortes que le soir quand tu rentres, tu n’avais plus la force de rien… Il m’arrivait souvent en rentrant du travail de ne même pas manger et d’aller directement me coucher, m’endormant à la seconde près. Mais je savais que ce genre de journée, c’est que j’avais fait quelque chose de bien, que j’avais sauvé des vies et c’était le but de mes études après tout, c’était le but de mon travail. Alors au final, que demander de mieux, de plus ? J’avais tout pour me combler au final, surtout quand on voyait les familles heureuses.

Sauf que ce n’était pas le cas actuellement. J’étais avec les autres internes et notre résident, nous étions sur un cas pas du tout facile puisqu’il s’agissait d’un nourrisson avec le syndrome du bébé secoué. Chose tout à fait ignoble, je ne pouvais pas comprendre comment des parents pouvaient faire cela à leur bébé, ce n’était juste pas humain. Comment pouvait-on s’en prendre à un être aussi inoffensif qu’un enfant ? Il fallait être cruel et ne pas avoir d’enfants. D’ailleurs, nous avions prévenus les services sociaux et l’enfant sera mit en garde.

Car pour ne pas arranger la situation, les parents n’étaient même pas là. Je trouvais cela inconcevable. Comment ne pas être présent quand la chair de ta chair, le sang de ton sang était en danger de vie ? Quand il n’allait pas bien ? Je ne pouvais pas comprendre. Rien que si mon frère ou ma sœur n’allait pas bien, j’étais n’inquiète alors là, son enfant, je ne comprenais vraiment pas. Je fus donc contente de ne pas être assigné à ce cas, cela me travaillerait trop. Pourtant, je ne suis pas comme mon autre colocataire, qui est hyper sociable, non, j’étais plus comme Prudence, mais elle avait moins de cœur que moi celle-là.

Nous étions en train de partir, laissant Prudence avec son cas quand je croisais le regard d’un policier. Je lui souriais grandement, je ne le connaissais pas spécialement à vrai dire. Je savais que c’était le meilleur ami d’un collègue à moi et que je travaillais souvent avec lui du moins, en coopération quand j’avais des patients qui étaient rattachés à ses affaires. Tantôt les victimes, tantôt les petits criminels. Enfin, ce n’était pas spécialement la joie quand même.

Je marchai tranquillement dans les couloirs jusqu’au moment où Liam me rattrape, je lui souris alors « Oui ? » Lui demandais-je d’une voix douce et chaleureuse. Je l’écoutais attentivement et je fronçai les sourcils un instant tout en me mordant la lèvre inférieur, nous avions tellement de patient par jour que je ne pouvais pas me souvenir tout de suite « Si ! » M’écriais-je un peu trop fort. Je me mis à rougir et à regarder autour de moi, comment se faire passer pour une folle. Je croisais le regard de Liam et je me mit à rire doucement « Pardon » m’excusais-je donc « Si, je me suis occupé de lui ce matin, suis-moi » Lui dis-je donc en me dirigeant vers le poste des infirmiers.

Code by Sleepy

Une visite imprévue.

Lucy A. Callaghan

Liam Watts

J'étais à l'hôpital pour le travail, mais quand je vois la plus jolie des infirmière de cet hôpital ça méritait une pause et que je m'égare un peu. Je laisse mon collègue s'occuper un peu du dossier et prendre de l'avance j'allais arriver après. Quand j'entends la voix douce et chaleureuse de Lucy, je souris sûrement l'air très con comme un gamin qu'il a vu une chose magnifique et qu'il est émerveillé. Je la fixais dans les yeux toujours avec mon sourire, enfin il fallait que je me reprends, sinon si elle s'en rend compte elle va se poser des questions. Mais c'est quand je l'entends crie "si" que je la regarde presque surprit et je me mit à rire doucement. Elle est à croquer franchement, en plus une femme qui fait rire un homme c'est la base. Enfin moi j'adorais cela qu'une femme me fasse rire. Puis quand je la vois rougir c'était mignon, c'est vrai que les personnes autour de nous la regarder quand elle a crié un peu fort. Je finit par sourire quand elle s'excuse. « Pas de soucis, on s'est juste fait repérer, mais ça va on fait rien de mal.» Dis-je en la regardant avec le sourire, je ne sais pas à quoi je pensais quand je parlais de rien faire de mal mais cela peut paraître suspect. J'écoute ce que me dit la belle Lucy, décidément j'étais chanceux elle c'était occupé de la personne que je cherche. Quand elle me propose de la suivre c'est ce que je fais en restant un peu en retrait derrière et j'en profite pour mater ses fesses même à travers la blouse. Une fois dans le bureau je reprends mes esprits, j'étais là pour bosser et non me rincer l'oeil, malgré que je peux faire les deux. « Je sais que tu as pleins de patients, mais est-ce que tu as vu d'autre marques sur lui ?» Après c'était à moi de fouiller, c'était mon métier chercher la vérité pour le bien de l'enfant surtout. « Pour toi tu penses qu'il avait l'air d'un enfant battu ou martyriser ?» Je prends le dossier que Lucy me donne et je lui fait un beau sourire charmeur. « Merci.» Je l'ouvre directement pour voir s'il était déjà venu à l'hôpital. Je devais savoir s'il y avait suspicion de maltraitance après faut savoir si c'est les parents où au collège. « Il est venu il y a environ il y a 4 mois pour un bras cassé. Est-ce qu'il y a moyen de m'envoyer le dossier par fax ? » Oui bon il y a le secret médicale, mais façon dans ce genre de cas on prévient la police surtout pour les mineurs. Façon si elle refuse j'étais chaud pour négocier, je suis du genre têtu et j'aime arriver à mes fins...

Arrivée à Cape May : 13/12/2014

◈ une visite imprévue.
l u c y. c a l l a g h a n. a n d. l i a m. w a t t s

Dans le genre « je me fais remarquer » je n’étais pas du genre à vouloir être remarquée, non à vrai dire… Je détestai cela. Je me mettais à rougir et je souriais au propos de mon interlocuteur « Je ne fais jamais rien de mal » Répliquais-je en souriant de manière innocente. Du moins, je ne fais plus rien de mal maintenant, le moins possible. Je le devais bien avec tout ce que j’avais fait dans le passé, je savais que je devais me racheter et cela, tout au long de ma vie. Et je réussissais plutôt bien à vrai dire, même très bien puisque j’étais une des meilleures internes qu’on pouvait avoir à l’hôpital.

Toutefois, je repris mon sérieux et proposa à l’agent de police de me suivre puisque que nous travaillons sur le même cas, si je pouvais aider cet enfant du mieux que possible. Je me posais et m’assis sur le rebord de la table près du comptoir et croisais les bras tandis qu’il me posait des questions. Je penchai la tête sur le côté, réfléchissant « Rien de vraiment trop alarmant à vrai dire surtout quand on connait son dossier » Répliquais-je alors en prenant le dossier avec moi « Nous avons un courrier par laquelle le petit est suivit par un psy il est apparemment hyper actif et pas mal turbulent » Expliquais-je donc en haussant les épaules.

Je lui tendis donc la lettre afin qu’il puisse la voir « En effet il avait des petites bosses qui ne datait pas d’aujourd’hui, mais bon avec un enfant ayant ce genre de comportement cela n’est pas plus surprenant que ça, à vrai dire je n’en suis pas étonné » Lui dis-je doucement en souriant « Je ne sais pas, si c’était un enfant battue ou maltraités… Pourquoi les parents lui paieraient des séances chez le psychiatre ou bien le mettre dans une des meilleures écoles de la ville, lui faire pratiquer son sport… Cela ne semble pas logique » Soufflais-je alors « Après, je ne sais pas… Il avait peur tout de même de causer des soucis à ses parents et d’être encore envoyer à l’hôpital, qu’ils ne seraient pas content » Révélais-je donc.

J’écoutais le lieutenant, persuader que l’enfant soit maltraité « Comme je le disais, il fait du sport et pas des plus tranquille, c’est tout à fait plausible » Répliquais-je alors « J’ai vu les parents, ils avaient pas l’air menaçant, je n’ai pas sentie l’enfant traumatiser, juste inquiet c’est tout » Expliquais-je alors « Je peux t’envoyer quelques trucs mais pas la totalité du dossier, il y a des choses secrètes dedans et qui ne sont pas utile à l’enquête » Lui répondis-je alors.

Une visite imprévue.

Lucy & Liam

On venait de se faire remarquer par les autres médecins à nos côtés, merci Lucy enfin c'est surtout elle qui venait de se faire remarquer en criant. Je souris quand j'entends ses paroles. « Ah jamais rien de mal ? Genre t'es une sainte, tu ne fais jamais de bêtises.» Dis-je en rigolant, je ne la croyais pas vraiment, on fait tous des petites bêtises dans notre vie et surtout étant petit et adolescent on en a fait. Puis l'entendre dire cela lui va bien je la vois comme une femme sérieuse et limite coincée ce qu'elle ne doit pas être. Mais on dit souvent que ce sont les plus réservé qu'il en font le plus. Mais bon la je partais loin dans mes idées cochonnes.

J'avais suivis Lucy jusqu'à son bureau et je m'installe sur la chaise et je la laisse prendre place sur le coin de son bureau et je la regarde, elle est trop belle j'adore la regarder et je ne m'en lasserais pas. Il fallait que j'arrête de penser a Lucy et qu'elle me rend fou, parce que bon j'étais là pour le boulot quand même. Je l'écoute me parler de ce gamin et j'apprends qu'il est hyperactif et turbulent, bon ça explique certaines choses. « Mais il suit un psy depuis petit j'imagine ? Ce comportement on la depuis gamin ?» Mais bon il n'est pas calmer malgré qu'il voit un psy. Enfin maintenant ce que je pensais me met un doute vu que le gamin est hyperactif ça change un peu tout. Je prends la lettre et je lis et je regarde ensuite la jolie interne. « Il y aurait possibilité que je sache le nom du psy pour que j'aille le voir pour avoir plus d'informations.» Peut-être que le gamin se confie à son psy c'est un peu le but.

L'enfant à plusieurs bosses de l'époque mais je suis de l'avis de Lucy étant turbulent et hyperactif il a du s'en fait des bobos étant gamins. Je soupire c'était une affaire où il va falloir imaginait plusieurs scénarios. «Oui mais faut quand même garder l'idée de la maltraitance, les parents peuvent justement le maltraité et mettre ça sur le dos qu'il soit hyperactif ça passe comme une lettre à la poste. Mais maintenant à 15 ans on ne se laisse plus faire comme quand on a 6 ans.» Dans mon métier je ne peux pas minimiser certaines idées il faut que je fouille partout et même parfois dans les idées les plus folles et inimaginables. « C'est vrai que ça parait pas logique et complètement tordu, mais dans mon métier je vois des histoires tordus et qu'on ne pense pas tout de suite parce qu'on se dit justement que ce n'est pas logique etc.» Je la regarde en frottant un peu ma barbe de quelques jours et je sors un petit carnet de ma veste et je prends notes de certaines informations qu'elle me donne. « Il t'a dit cela ? C'est pas les parents dans ce cas, mais peut-être à l'école ou à son sport il est peut-être agressé à l'école par ses camarades ou au sport, mais je pense qu'il aurait voulu arrêter si ça n'allait pas au sport. Que l'école c'est obligatoire et il n'a pas le choix dit aller. Vous ne savez pas s'il sèche les cours ?»

Puis bon le gamin a 15 ans alors il sait garder les secrets et s'il ne veut pas parler il ne le fera pas. Je sens que je vais encore passer des grandes heures sur ce dossier et même la nuit ça m'arrive bien souvent. « Je vois peut-être inquiet par peur que ses parents se posent des questions et découvre l’atrocité qui se passe à l'école. Je ne pense pas qu'il se fait ça lui même parce qu'il est turbulent, il a autre chose derrière.» Je le sentais, c'était peut-être mon instinct de flic, mais il va falloir que je fouine un peu partout et même interroger le directeur de son école et ses profs, son entraîneur de sport. « Je peux avoir le dossier je te dit ce qu'il m'intéresse. Profite je ferme un œil si c'est secret enfin les deux yeux.» Dis-je en rigolant. Je tant ma main en faisant ma moue de chien battu pour qu'elle me donne le dossier et que je regarde. Sinon elle me donnera peut-être pas ce qui peut être important pour elle, mais moi ça peut l'être...

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Arrivée à Cape May : 13/12/2014

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Je regardai donc le brun ténébreux en souriant de manière malicieuse « Bien rare sont les fois où je fais quelque chose de mal » Répliquais-je « Je suis l’enfant parfaite, la femme parfaite, la collègue parfaite enfaîte je suis la perfection incarnée » Répliquais-je alors toujours de manière amusée car bien entendu tout le monde savait que ce n’était pas le cas. Je ne disais pas que j’étais l’inverse car il est vrai que je ne faisais pas souvent de bourde étant donné que je tenais tellement à garder le contrôle de ma vie que je m’amusais que peu, mais j’avais un caractère affreux qui me rendait tout de suite moins parfaite, voir largement imparfaite.

Enfin bon, l’amusement n’était pas la raison pour laquelle il était venue me voir, mais parce que j’avais été le médecin d’un des enfants d’une affaire dont il s’occupait donc bien entendu dans ce genre de cas, la collaboration entre la police et les médecins étaient nécessaires tant que cela ne dépassait pas les limites requises. Bien entendu je pouvais dévoilés certains trucs, mais ils ne pouvaient pas à avoir tout le dossier étant donné que j’étais tout de même liée au secret médical et que si je l’enfreignais je pouvais avoir de gros soucis, qu’on me poursuive et que je perde carrément mon métier, chose que je ne voulais pas étant donné que j’ai travaillé tellement dur et tellement fort pour en arriver là.

J’étais donc posée tranquillement « Oui c’est ça » Répondis-je « Oui ça je peux te le donner, après je ne suis pas certaine que tu auras des réponses, car lui aussi il est lié au secret professionnelle donc bon » Répliquais-je avec une grimace « Mais tente toujours » Lui fis-je donc. Je pris un papier et un crayon notant alors le nom du psychologue en question. Enfin nous continuons donc de parler du cas du gamin et il est vrai que j’avais du mal à croire que les parents du jeune puisse le maltraités dans le sens où ses parents faisaient tout pour qu’il puisse avoir un avenir qu’il se sente bien et qu’il ait toutes les cartes en main pour sa vie d’adulte.

Je lui affirmais donc mon point de vue en révélant également certains détails du dossier qui n’était pas privées et qui ne trahissait en rien le dossier médical « Oui, mais franchement pour les fois où j’ai été en contact avec la famille, je n’ai pas trouvé que cela pouvait être le cas » Lui révélais-je donc « Mais après ce n’est que mon impression donc bon, je ne peux pas spécialement dire, cependant il est clair que je trouve cela pas mal étrange si c’est le cas » Dis-je donc en haussant les épaules « Je ne sais pas, il fait un sport de combat donc parfois même si ça fait mal, la passion ou la détermination fait que ça surpasse la douleur » Dis-je donc « Pour ce qui est de sécher les cours, non je ne le sais pas… Mais très franchement, qui n’a jamais cessé aucun cours à son âge ? » Fis-je donc en croisant les bras.

Cependant je ne pouvais clairement pas accéder à sa dernière requête « Non je suis désolée, je ne peux vraiment pas le faire, je t’ai donné tout ce que je pouvais, je ne peux pas te donner davantage sans compromettre le secret professionnel, risqué une plainte contre moi, l’hôpital et même alors ma place » Lui dis-je avec une moue désolée « Essayer de voir avec le psychologue ou je ne sais pas, mais il est vrai que je ne peux pas faire plus » Lui répliquais-je alors.

Spoiler: