MelyChild ♥ Vive ma vie

Bonjour love, je m'appelle Melyna Kellya Rothschild et j'ai 29 ans. Je suis né(e) le 1er février 1988 à Londres. Dans la vie je suis Youtubeuse et vloggeuse et financièrement je suis plutôt riche. Je suis bisexuelle et fière de vous annoncez que je suis célibataire. J'ai également nombre de Deux sœurs et un frère et ma vie est comme la musique Beauty and a Beat (pour le moment) de Justin Bieber. PS : je suis pré-lien de Natasha.

Code:

Margot Robbie [color=#ff0000]◈[/color] [i]Melyna K. Rothschild[/i]

Surprotectrice ∾ Déterminée ∾ Catégorique ∾ Vie pleinement et intensément ∾ Séductrice ∾ Ambitieuse ∾ Arrogante ∾ Autoritaire ∾ Dominante ∾ Passionnée.

J’ai un Chihuahua à poils longs depuis deux ans. Il est le meilleur ami de Dawn et moi. ∾ Je regarde un Disney à toutes les semaines avec ma fille. ∾ J’ai toujours mon ordinateur et ma caméra avec moi. ∾ Je filme presque tout ce que je fais et je mets le plus intéressant dans des vlogs que mes abonnés adorent regarder. ∾ J’ai deux chaînes Youtubes. Ma chaîne principale (MelyChild avec 9.5 millions d’abonnés) et ma chaîne de vlogs (MelyLife avec 3 millions d’abonnés). ∾ Je passe beaucoup de temps à prendre soin de moi. J’adore me maquiller et me sentir belle. ∾ Il n’y a qu’un seul homme qui m’intéresse vraiment. J’envoie balader les autres, sauf lorsqu’on parle de relation d’une nuit ∾ Mon métier me fait beaucoup voyager et j’adore découvrir le monde pour rencontrer mes abonnés. ∾ Je suis en train de travailler sur un livre avec une petite maison d’édition. ∾ Je suis une accro de Netflix. ∾ Le fait d’avoir été maman jeune m’a rendu très responsable. Le bien de mon enfant passe en premier. ∾ J’adore le chocolat et c’est toujours une guerre avec Dawn, car je n’aime pas le partager. ∾ J’ai pleuré comme une madeleine lorsque je suis allée reconduire ma fille à l’école pour la première fois. Je n’avais jamais été séparée d’elle aussi longtemps. ∾ Je suis extrêmement bornée, bonne chance pour me faire changer d’avis. ∾ Au début, j’étais très sensible aux commentaires négatifs, j’ai pensé tout arrêter, mais j’ai appris à les ignorer. ∾ Même si je suis consciente que trouver un père pour ma fille est l’essentiel, je préfère enchaîner les coups d’un soir.


Sinon dans la vraie vie je m'appelle Miss, mais sur le net je suis connu sous le pseudo de Miss. J'ai 24 ans et je vis au Québec. J'ai connu BAE via une demande Facebook et je pense être présent(e) aussi souvent que possible. Je trouve BAE à découvrir avec le temps et pour finir je dirais patate aux framboises sautées..

Pour certains, le 1 février 1988 fut une tragédie, mais pas pour les Rothschild. Alors que plusieurs pleuraient la perte de proches décédés dans un accident impliquant un autobus scolaire et un train, maman Rothschild donnait naissance à son second enfant. Sa première petite fille, sa future princesse. Dès le début, elle avait toujours désiré une fille, mais son premier enfant fut un garçon. Certes, elle l’aimait tout autant, il restait la prunelle de ses yeux, mais elle était tellement heureuse d’avoir enfin une petite fille. Melyna. Mon nom était choisi depuis des années. Je n’étais pas encore dans les pensées de mes parents que ma mère avait choisi mon nom. Elle voulait me donner le même nom qu’avait porté sa meilleure amie décédée trop tôt après une bataille contre le cancer. M’appeler ainsi était comme donner une seconde vie à cette femme qui avait eu énormément d’importance dans la vie de ma mère. Jusqu’à mes 7 ans, j’ai eu une enfance à peu près normale. J’ai commencé l’école, j’étais assez douée pour faire des dessins et pour écrire mon nom, j’avais des amies et je ne manquais de rien. En même temps, mes parents géraient leur propre boîte de publicité et ils gagnaient très bien sa vie. L’argent n’a jamais été un problème chez les Rothschild, mais alors que j’accompagnais mon père acheter notre premier petit chien, un camion n’a pas respecté son feu de circulation et a heurté la voiture de plein fouet. Honnêtement, cette partie de ma vie sera toujours un trou noir. Je ne me souviens pas de l’accident ni de tout ce qui a pu se passer avant mon réveil. Je me souviens avoir entendu des voix, mais jamais de ce qu’elle me disait ni même de leur provenance. Était-ce les médecins ? Ma mère ? Mon père ? Mon frère ? Aucune idée et je ne le saurai jamais. Tout ce que je sais c’est que j’ai fini par me réveiller et que j’ai passé un moment dans les bras de ma mère en larmes. Mais je sentais dans sa façon de me parler et de me serrer dans ses bras que c’était plus que de l’inquiétude à mon égard. Bien sûr, pour mon bien, mes parents ont attendu que je quitte l’hôpital pour m’apprendre que je n’étais pas réellement leur fille et que j’avais été échangée à la naissance. Sur le coup, je n’ai pas compris la gravité de ces paroles. Après tout, je n’avais que 7 ans et je sortais d’une grosse opération qui avait demandé une greffe d’un rein. Comment dire que j’avais d’autre priorité en tête que de me soucier de mes parents biologiques ? L’important pour moi c’était l’amour que me donnait mes parents et mon frère. Le reste n’était tellement pas important. Contrairement à ce que mes parents avaient cru, cette annonce ne changea rien à notre relation et à notre vie famille. Après tout nous étions une famille soudée et ce n’était pas ce détail qui allait changer quelque chose. J’ai réussi à me remettre de cet accident et de cette greffe.

Nos vies ont rapidement repris leur cours normal à l’exception près que nous avions des nouveaux amis. Ma mère biologique m’avait offert un rein pour me sauver la vie, elle avait également appris que la fille qu’elle avait mise au monde n’était pas celle qu’elle avait élevée. Je crois que ma mère et ma maman biologique avaient ce besoin d’être là l’une pour l’autre et de se soutenir. Donc elle passait régulièrement à la maison et j’ai sympathisé avec Natasha, la fille contre qui j’avais été échangée et ma sœur biologique Kamryn. Toutes les trois, nous sommes devenues très proches. Nous étions un petit peu comme une famille et c’était agréable. Leur présence était très importante pour moi et pour mon développement.

Quand j’ai obtenu mon diplôme, j’ai voulu me diriger dans un premier temps vers des études supérieures en communication. Malheureusement, j’ai arrêté assez rapidement. Les études étaient très, très difficiles. Si j’avais vraiment voulu, j’aurai eu les compétences pour le faire, mais il me manquait surtout de la volonté. J’ai tout arrêté du jour au lendemain. Pour faire quoi ? Je n’ai pas trouvé tout de suite. J’ai passé une année complète à la maison à ne pas faire grand-chose. J’ai profité de cette année pour prendre du temps pour moi. J’avais 20 ans à l’époque. J’avais encore toute la vie devant moi pour trouver ma branche. Pendant cette année, j’ai commencé à m’intéresser à un nouvel univers qui montrait le bout de son nez. Youtube. Sans aucune attente, j’ai ouvert une chaîne Youtube que j’ai nommé MelyChild. Ayant toujours été attiré par la mode et par le maquillage, c’était le sujet principal des vidéos que je faisais. À côté, je tenais un blog où je parlais de tout et de n’importe quoi. Au début, c’était seulement pour le plaisir, mais je n’aurais jamais pensé que ma chaîne Youtube prendrait des proportions aussi énormes. De nombreuses jeunes filles et même des garçons s’abonnaient à tous les jours à ma chaîne. 100 abonnés, 1000, 50 000, 100 000… Je prenais de plus en plus de plaisir à faire mes vidéos sur les choses que j’aimais vraiment et j’avais une communauté vraiment incroyable. C’était super d’échanger avec eux.  Après quelques temps, Youtube a instauré un système de monétisation via les publicités ce qui m’a permis de gagner un petit peu d’argent grâce aux vidéos. Ce montant augmentait de mois en mois en même temps que mon nombre d’abonnés. Grâce à cela, je n’ai jamais ressenti le besoin de me réorienter et de reprendre mes études supérieures. Même si c’était un sujet tabou au début, Youtube était pour moi un métier et est encore un métier aujourd’hui. J’ai toujours la même chaîne Youtube depuis 2008 et j’approche dangereusement des 10 millions d’abonnés. C’est un chiffre qui fait peur. C’est tellement de monde. Certes, ce n’est pas un métier facile à tous les jours. Certaines personnes sont très méchantes sans raison, la communauté est très exigeante, les médias s’intéressent maintenant à Youtube et mettent beaucoup de pressions sur les Youtubeurs phares. Comme je suis là depuis le début, je fais partie de ces personnes qui sont surveillées et qui n’ont pas le droit au moindre faux pas. Mais ça me plait bien. Ça m’a permis de me faire connaître du public, mais également des différentes marques de vêtements et de maquillages. Aujourd’hui, j’ai beaucoup de partenariats avec des marques que j’adore. Je peux tester des centaines et des centaines de produits. Je fais mes avis sur ma chaîne, je conseille les gens sur les bonnes et sur les mauvaises marques. Je suis un petit peu devenue une référence avec le temps et ça fait super plaisir de voir autant de personnes écouter ses conseils.  Même si je prends plaisir à faire ce que je fais et que je gagne énormément d’argent, Youtube n’a jamais plu à mes parents. J’avais commencé des études en communication afin de rejoindre leur boîte de publicité et ils comptaient énormément sur moi. Dans leur tête, chacun de leur enfant aller rejoindre leur boîte et elle allait se transmettre de génération en génération. J’étais la deuxième d’une famille de quatre et je décevais déjà ma famille. Mon frère avait cédé sans problème et avait fait ce que mes parents voulaient, mais pas moi… Je ne voulais vraiment pas faire cela pour ma vie. Quand mon père a compris que je n’allais pas changer d’avis, il m’a foutu dehors. En me précisant que c’était parce que je n’étais pas leur enfant biologique que je n’avais pas les mêmes intérêts qu’eux et que cet échange avait gâché leur vie. Je n’ai même pas cherché à me battre, j’étais beaucoup trop blessé, donc j’ai pris mon pc, ma caméra, mes vêtements et je suis partie. Au départ, je me suis trouvée un petit studio pas trop cher. Youtube ne donnait pas énormément à cette époque et ma première année seule a été très difficile. N’ayant plus de contact avec mes parents, je ne pouvais pas leur demander d’aide. J’ai galéré toute seule. De plus, mes parents avaient interdit mes jeunes sœurs d’avoir tout contact avec moi. Ça, je l’ai trouvé très difficile, car j’étais extrêmement proche de mes sœurs… Certes, on essayait de se voir en cachette, mais ce n’était pas autant que je le désirais… Heureusement, il restait Natasha et Kam qui m’ont été d’un énorme soutient dans cette période plus difficile de ma vie.

Niveau amour, j’ai eu beaucoup d’amourettes de ma vie et une seule histoire plus sérieuse… Cet homme était le meilleur ami de mon plus grand frère. Je le connaissais depuis toujours et j’avais toujours eu un faible pour lui. Bien sûr, j’étais trop jeune pour qu’il me remarque à l’époque… J’ai dû attendre d’avoir 22 ans pour attirer finalement son attention autrement que « la petite sœur de mon pote ». Malheureusement, il était marié. Il était marié depuis tellement longtemps que j’avais préféré oublier ce détail et me laisser porter par mon fantasme de toujours… Nous avons été amants pendant 1 an et demi. L’an et demi la plus belle de toute ma vie… Jusqu’à ce qu’un énorme retard de règles vienne tout gâcher… L’amante enceinte de l’homme marié… J’ai paniqué. J’ai paniqué et je suis partie. J’ai arrêté de le contacter du jour au lendemain et j’ai ignoré tous ses messages. Il a fini par arrêter et il est retourné à sa petite vie avec sa femme tandis que je mettais au monde notre enfant. Une magnifique petite fille que j’ai prénommé Dawn.

Aujourd’hui, je viens tout juste d’avoir 29 ans. J’ai un très grand appartement à Londres que je partage avec ma petite fille et notre petite Chihuahua, Tartine. Ça a été long avant que je trouve le courage d’aller chercher ce chien me rappelant sans arrêt l’accident de voiture que j’ai eu à 7 ans. Je gère mes deux chaines Youtube, je suis en partenariat un petit peu partout, je ne manque de rien. … Bon peut-être d’un petit peu d’amour, mais ça va venir au moment venu. Pour l’instant, je me concentre sur l’essentiel.