Prologue
La vie n’est jamais ce qu’elle parait…
Ma vie n’a était que mensonge jusqu’à l’âge de 12 ans, ce jour là ma mère, Eileen, était vraiment très mal à cause de sa dépression. C’est à ce moment là qu’elle m’a avoué son lourd secret et maintenant c’est à moi de vous le raconter, vous pouvez me juger, je m’en moque. En ce jour du 22 février, ma mère me demande de venir prés d’elle, elle compte me raconter une histoire. Tout commence il y a un peu plus de 15 ans, ma mère était en France, à Paris plus exactement, en train de chanter pour essayer de gagner sa vie, elle a vraiment une voix magnifique. Mais elle remarque que depuis quelques jours, un homme vient souvent la prendre en photo, elle fini par se prendre au jeu et s’amuse comme une petite folle à poser par moment pour ses photos. Le fait qu’elle soit âgée que de 16 ans joue sur son comportement.
Plus les jours passent et plus un lien sembles se créer entre eux deux, ils finissent par se rencontrer en dehors de sa petite scène improviser et peu avant son départ, Charles, lui propose de venir avec elle. La jeune femme est quelques peux sous le choc face à sa demande, mais elle l’apprécie vraiment, elle ne l’aime pas, mais c’est quelques peu attacher à lui malgré tout. Comme elle souhaite de changer de vie, elle accepte de le suivre à Chicago. Au fils du temps, elle apprend qu’il lui arrive beaucoup de voyager pour prendre des photos du monde entier, il aime aussi prendre des photos de son pays natal : l’Irlande. Quand ma mère à l’âge de se marier, il l’a demande en mariage, elle accepte même si elle ne l’aime pas et qu’il est vraiment plus âgée qu’elle, Charles à 43 ans quand ils se marient.
Mais comme toute histoire, il y a des rebondissements. Le fils de Charles arrive dans leur petite maison de Chicago, pour essayer de combler ses fins de moi, Joseph décide de devenir un modèle nu. Un jour il propose à ma mère de participer à son cours, il a envie de lui montrer que ce n’est pas choquant, c’est juste de l’art. Le même chemin se passe entre eux deux, ils s’attache l’un a l’autre, mais c’est différent, car il y a de réels sentiments entre eux. Mais aucun des deux ne fait le premier pas vers l’autre, enfin c’était jusqu’au moment ou Joseph prend la main d’Eileen pour la rapprocher de lui afin de l’embrasser.
A partir de ce moment là, Eileen et Joseph ont une relation en secret, ils profitent de l’absence de Charles pour passer un moment tout les deux, mais un beau jour Charles rentre plus tôt que prévu. Il retrouve son fils et sa femme dans son propre lit, fou de rage, il repousse Joseph et viole Eileen. Joseph ne supporte pas ce genre de chose et se jette sur son propre père, mais dans sa chute Charles se cogne la tête et il git inconscient sur le sol. Eileen et Joseph se prenne dans les bras l’un de l’autre pour se rassurer, quand une enquête est ouvert pour la mort de Charles, ils ne sont pas coupable. Mais jamais ils ne pourront oublier ce jour, car peu de temps après c’être installer dans une autre ville, Eileen apprend qu’elle est enceinte. Joseph n’est pas le père, c’est Richard. J’ai donc était élever par mon propre frère qui se fait passer pour mon père… Il n’a pas eu le choix, car Eileen à refuser sa demande quand il lui a dit qu’elle devait avorter.
Chapitre 1
La début d'une vie…
C’est donc quelques mois après cette longue décision que je vois le jour, tout les enfants sont baigner d’amour par leur parents, mais ce n’est pas du tout mon cas, Joseph ne m’apprécier pas quand je n’étais pas encore née, alors que je suis bien réel, ses sentiments pour moi on augmenter, il me hait enfin c’est ce que je pense. Pour lui je ne suis rien, je suis juste le fruit du viole d’Eileen, je suis le bat*** de son père. Charles n’est plus de ce monde alors il laisse aller toute sa haine contre moi. Mais ce que je ne supporte pas c’est que ma mère passe son temps à le défendre, c’est normal elle l’aime, d’un amour bien sincère. Il ne me laisse rien faire, ne fait que me rabaisser en me disant que je ne suis qu’une me***, un bon à rien. A force de l’entendre me le dire, j’ai l’impression d’être ce genre de personne, je souffre beaucoup de ce genre de chose. A un moment de ma vie, je n’avais le droit à rien du tout, c’est comme ça que je me suis mis à écrire ma propre histoire, une histoire ou je pouvais m’inventer une vie heureuse sans un père qui me déteste, ce genre de chose il ne pouvait pas me le retirer.
Jamais il n’a su que je faisais ce genre de chose, c’est mon petit jardin secret, personne ne peux me retirer ce genre de chose, car personne ne sais que j’écris vraiment par passion de l’écriture. Mais un beau jour, je me rends compte qu’il échange quelques mails avec une autre femme, je me pose pas mal de question. Je sais qu’il est en train de tromper ma mère, mais je ne peux pas lui laisser faire ce genre de chose. Je sais que mes liens avec lui sont déjà assez tendus, mais il faut que j’en parle avec ma mère. Je n’aurai pas dût faire ce genre de chose, elle lui en a parlé, il a essayé de trouver une excuse, sur le fait que ses absences coïncide au moment où il donner des rendez-vous à la femme. Pour une fois ma mère à insister pour avoir des explications et il a fini par la quitter en quittant la ville, au fond de moi je sais qu’il est partie vivre avec elle et que ça fait un moment qu’il prévoyait de faire ce genre de chose.
Mais son départ à plonger ma mère dans une grosse dépression, elle n’avait plus envie de ne rien faire, elle s’en voulait, elle voulait qu’il revienne vers elle. Je n’aime pas du tout la voir comme ça, mais je n’arrive pas du tout à la consoler, même si je fais mon possible, mais à force de ne penser qu’à elle. Je plonge moi aussi, mais pas du tout dans la dépression, j’enchaine les choses, je passe pas mal de temps avec mes amies à me droguer ou a boire tout simplement, mais je fais toujours en sorte d’attendre que ma mère dorment avant de faire ce genre de chose. C’est lors de cette soirée que j’ai connu la sensation de se faire tatouer, c’est comme une bouffée d’oxygène pour moi. A chaque tatouage, je me sens bien, mais attention je fais toujours des choses qui ont un sens pour moi, chacun de mes tatouages est réfléchie et je n’en regrette aucun.
Je sais que ce genre de chose, n’est pas bon, mais par moment j’ai vraiment besoin de tirer sur une cigarette avant de faire une bêtise que je finirai par regretter, attention je ne suis pas du tout accro à tout ça, c’est juste pour me calmer et oublier la vie minable que je vie, Mais je ne m’attendais pas du tout à tout ce qu’il va se passer dans quelques temps dans ma vie. L’enfer commence juste après une nouvelles qui me laisse sur le c**.
Chapitre 2
L'enfer continue…
La nouvelle qui me laisse perplexe, c’est que je dois me rendre chez Joseph le temps que ma mère aille se faire guérir de sa dépression, c’est son idée à lui, mais pour qu’elle raison est ce qu’il a envie que je passe du temps en sa compagnie, on se déteste, enfin il me déteste et par moment j’ai eu envie qu’il soit fière de ce que j’aurai pu faire, mais ce genre de chose n’est jamais arriver, donc j’ai n’ai plus aucun espoir. J’arrête tout simplement de me battre, comme je veux le bonheur de ma mère, j’accepte d’y aller, même si une fois que je suis arrivé à l’aéroport j’ai envie de prendre un autre vol et de partir très loin, mais je ne peux tout simplement pas vis-à-vis de ma mère.
C’est donc dans l’avion pour Londres que je prends, même si pour celui de Paris était en train de m’appeler, mais je ne me suis pas écouter et je suis partie dans le bon vol. Juste à revoir sa tête m’attendre à l’aéroport me donne la nausée, je n’ai pas envie de le voir ni de lui parler, car je sais très bien que mes choix ne lui plaise pas, rien que le fait qu’il regarde les tatouages que je porte me fait comprendre que je me comporte comme un petit branleur qui n’arrivera à rien du tout dans ma vie. Mais qu’il aille se faire f***** avec son avis de m****. Il a décidé de nous laisser, alors j’ai le droit de faire ce que je souhaite surtout que je suis majeur. Mais je le suis sans rien dire jusqu’à sa voiture puis jusqu’à sa maison qu’il partage avec sa nouvelle famille.
Quand j’entre dans la maison, la première chose que je fais c’est de demander où est ma chambre pour aller me réfugier, je ne veux pas passer du temps avec sa nouvelle famille parfaite, mais je sais qu’il ne leur montre pas son vrai visage. Durant mon séjour la bas, je me prends vraiment réflexion sur réflexion, mais je fais semblant que ça ne m’atteins pas du tout, personne ne m’a jamais vu dans un moment de faiblesse et surtout je ne veux pas que ce soit lui le premier, mais je suis assez surpris quand à un moment Amélia vient prendre ma défense. C’est vrai que ce jour là, je l’ai un peu cherché vu que je suis rentré à 3 heures du matin quelques peu bourrer et je ne vais pas me cacher j’avais sniffé un peu de drogue aussi.
Depuis ce jour, Amélia et moi avons commencé à vraiment nous entendre, mais si je continuer à la chercher quelques peu, elle refuser de me parler un peu plus de la personne qu’elle admire, je lui voler un objet qu’elle ne pouvait pas se passer. Je lui rends seulement quand elle finissait par m’avouer ses plus lourd secret, mais ce genre de chose ne fonctionne que dans un sens, je ne me confie à personne et personne ne sais ma véritable histoire, je refuse que les gens me juge à cause de ce genre de chose.
Mais un beau jour, je reçois un appel de ma mère qui me dit qu’elle va très bien, que je peux retourner auprès d’elle, car le centre à accepter qu’elle part. J’ai tout de même quelques crainte, mais je ne réfléchis pas et commence à prépare mon sac en restant au téléphone. Mais je me stop net quand elle me dit que c’est elle qui me rejoins à Londres, elle a besoin de changer d’air et elle veut recommencer une nouvelle vie, dans un nouveau pays.
Chapitre 3
L'éclaircis que j'attendais…
Je suis assez surpris par sa décision, mais je ne peux que l’accepter, Londres est vraiment une très jolie ville, je sais que je laisse derrière moi des amis, mais je me demande s’ils le sont réellement. Est-ce qu’ils viendront à moi quand j’en aurai besoin, je ne pense pas, mais je sais qu’Amélia ferai ce genre de chose, c’est la seule à me comprendre réellement. Je ne veux plus être entouré des personnes qui se moquent de moi, je veux n’être entouré de personne de confiance. Je sais que pas mal de personne trouve ça bizarre que je sois proche à ce point d’Amélia, mais même si ce n’est pas vraiment ma petite sœur, je le considère comme telle et je ne laisserai personne lui faire du mal.
Quand ma mère m’annonce qu’elle a une petite maison, qui n’attend plus que nous, je suis vraiment heureux, ça fait un moment que je n’ai pas ressenti ce genre d’émotion, je ne réfléchis pas durant de longue heure, je pars la voir avec Amélia. J’ai la possibilité de prendre la clé et de commencer à m’installer dedans même s’il n’y a rien du tout, mais ma mère m’envoi petit a petit ce qui se trouve à Chicago. Une nouvelle vis commence pour nous. Je ne sais pas du tout où tout ça va nous mener, mais je suis prêt à la commencer, même si Joseph n’est plus très loin de nous.
Quelques années sont passé depuis que ma mère et moi avions emménagé à Londres, ma mère n’a jamais était aussi heureuse, elle a réussi à ouvrir de nouveau son cœur, elle vit avec Richard. Un homme vraiment formidable et je sais qu’il la rend heureuse, c’est donc pour cette raison que j’ai prit mon propre petit chez moi, je ne suis pas vraiment loin de mon ancienne maison, mais j’avais besoin de mon petit chez moi. Un endroit où je peux écrire sans être interrompu enfin je le suis souvent par mon téléphone, quand des amis me demande de les rejoindre pour aller boire un verre. Je ne leur refuse jamais, j’aime toujours boire des verres de vins, mais je ne touche quasi plus à la drogue.
Ma vie n’a pas vraiment changé, sauf que j’ai publié un livre, mais pas sous mon vrai non. Mais étrangement je ne me vante pas vraiment de ce genre de chose, je n’ai pas envie que les gens me connaissance à cause de ce genre de chose, j’étais jeune et je voulais que ma vie change, alors j’ai accepté de le publier. Le livre se vend tout de même, mais j’ai d’autre projet que je pense sortir sous mon véritable nom. Le fait de toujours avoir un verre de vin prés de moi m’aide beaucoup dans mon écriture, mais je ne bois jamais jusqu’à ne plus pouvoir marcher droit.