Mise en garde avant le procès

Après un mois et demi d’arrêt du au faîte que je m’étais fait tiré dessus lors d’une altercation avec le tueur d’enfants et que j’avais reçu une balle dans l’abdomen, j’étais enfin de retour à mon poste et quand je dis enfin c’est parce que j’en avait eu marre de rester cloitrer chez moi a rien faire et  tourner en rond et me faire davantage étouffer par ma mère qui était devenu davantage super protectrice depuis que je me suis fait tiré dessus et bien sûr Victoria était à mes coter ce n’était plus moi qui prenais soins d’elle mais elle qui prenais soins de moi les rôles avait était inverser mais j’en avait assez de tout ça je n’étais pas en sucre j’allais bien la preuve la seule chose que j’avais eu envie c’était reprendre mon boulot au plus vite et chose faite aujourd’hui je retourne au poste de police même si pour certaines personnes s’était bien trop tôt pour que je reprenne du service mais m’en fiche je reprends du service que sa plaise ou pas.

Arriver au commissariat, je saluer les collègues que j’avais sur mon chemin pour aller dans mon bureau, je discuter quelques minutes avec un collègue mais il était aussi un ami, je l’avais remercié d’être venu me voir et m’avoir tenu informer ce qui se tramer par ici, comme ça quand je reviens aujourd’hui je ne serais pas perdu de toutes ces nouvelles. Par la suite je laisse donc mon collègue et me dirigea vers mon bureau, arriver dans ce dernier, j’allume la lumière et regarde autour de moi rien n’avait changer peut-être une chose. La boite de gâteaux poser sur mon bureau, je pose ma veste en cuir sur la porte mentaux et je me dirige vers la boite de gâteaux amusé puis découvre tout plein petits gâteaux qui venait de la boulangerie du coin puis je découvre un mot de la part de mes collègues qui me souhaite un bon retour parmi eux. Mon téléphone de mon bureau sonne je m’avance vers le téléphone et décroche. Lieutenant Lowell, Oui j’arrive tout suite. Dis-je à mon interlocuteur puis pose le combiné du téléphone à sa place et quitte mon bureau pour aller dans celui de mon père.

Après plus d’une heure en entretien avec mon père sur le fait que pour le moment il ne voulait pas me voir sur le terrain pour le moment il m’avait ordonné de m’occuper des dossiers classer et archives des dossiers bien sur je n’étais pas d’accord parce que je voulais retourner sur le terrain mais rien n’y faire je devais suivre les s’ordres de mon capitaine avant tout. Je retourne dans mon bureau un peu agacé du choix de mon père pour moi, en rentrant dans mon bureau je découvre une jeune femme que je n’avais jamais vue auparavant et qui était assis à ma place. Qui est vous ? Et que faite vous à ma place ? Demandai-je à la jeune femme méfiant vis-à-vis d’elle après tout je ne la connais pas. La jeune femme prit rapidement la parole en me fessent tout un pitch sur la barbe à papa et honnêtement je comprenais pas son délire et puis je n’étais pas d’humeur à plaisanter sur sa barbe à papa, qui était -elle et qu’es qu’elle me voulait. Si vous me permettait j’ai autre chose à faire que vous écoutez faire un éloge sur votre barbe à papa. Qui êtes-vous et qu’es que vous me voulait ? Demandai-je à la jeune femme en croissant les bras.

La jeune femme se présente comme la sœur de Victoria mais aussi celle de Eva puis elle commence alors jeter son venin sur moi en me balançant dans la figure que c’était à cause de moi que ses sœurs souffraient, que j’avais brisés leurs vies à tous les deux, bah voyons tout suite c’est moi qui est la cause de leur malheur non faut qu’elle arrête son délire sérieux, d’accord j’ai envoyé l’une de ses sœurs en prison mais pour ce qui est de Victoria ce n’est pas moi qui a brisé sa vie, ce n’est pas moi qui la tromper en tombant enceinte en sachant pas qui était le père. La petite commencer vraiment à être à son aise puis qu’elle commencer à me menacer pour que je l’aide à faire quelque chose. Vous allez vous calmer, je n’aime pas qu’on me menace vous vous prenais pour qui ? Lui dis-je en la regardent pour lui faire comprendre qu’elle ne m’impressionner pas avec ses menaces à deux balles et que je n’avais pas l’intention de lui venir en aide.