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 Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS

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MessageSujet ☆ Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS   
le sujet à été posté Mer 9 Aoû - 22:07





Do you want to be afraid ?

''RDV à cette adresse GPS à 23h !!! Love Bae.''... non mais sérieusement c'est quoi ce plan ? Je me trouve en face d'un immense portail délabré et donnant sur une propriété clairement défraîchit... Je croise les bras en refermant mon gilet gris autour de moi (voir tenue), la capuche me recouvrant la tête.. le vent est frais et clairement, j'ignore pourquoi, mais je le pressentiment qu'un orage approche. Coïncidence assez cocasse si je devine l'idée d'Andréas pour la soirée. Mais comme toujours, moi je cours. Il m'invite, veut me voir et je n'hésite jamais. Je ne dis jamais non.. et je souris en voyant son nom s'afficher sur mon téléphone comme une grosse niaise. Arthur dans ma vie, Andréas.. tout est presque trop beau pour être vrai, si ce n'est que Eva est toujours taule.. et ça, c'est ce qui me manque. Je frissonne un peu et regarde l'heure sur mon portable. Putain Andy t'es en retard !! Je grogne toute seule en me tournant vers l'immense portail en fer forger. Je m'approche en levant la tête, la lumière seule de la lune transperçant les arbres pour me servir de lumière. Mes yeux se sont habituer à la clarté nocturne mais je n'aime pas pour autant ça.. j'ai tellement vécu la nuit qu'aujourd'hui je m'y sens comme à ma place.. mais elle est aussi ma pire ennemie.. cette nuit. Cette nuit qui me tend toujours les bras avec autant de facilité. Mais je continue à travailler sur moi-même et.. voir Andréas m'aide plus qu'il ne pourrait jamais imaginer.

Je me sens observer.. s'il me fait une vanne je lui en colle une. Je me tourne, regardant autour de moi. Mon cœur bas plus rapidement, à cent à l'heure. J'entends un craquement à ma gauche, juste là derrière mon oreille. Je me retourne de nouveau, rapidement, faisant volte face et essaie de voir quelque chose à travers les barreaux. Un grondement se fait entendre au loin.. un orage, beh oui quelle blague. Je lève la tête, voyant des nuages épais venir cacher la lumière de la lune, me rendant un court instant distraite quand des pas avance vers moi et une main se pose d'un coup sur mon épaule. Je hurle en me retournant, sursautant comme une hystérique en voyant apparaître en face de moi, torche en main.. Andréas, mort de rire en me voyant réagir ainsi sûrement : « HO TOI !! je grogne en lui frappant le bras, ça va pas d'arriver comme ça !! » en le frappant, ce n'est que la manche trop grande de mon gilet qui le percute. Sauf qu'il se moque toujours de moi et que son rire est contagieux pour moi à chaque fois. Je me met à rire à mon tour et replaçant une mèche de mes cheveux sous ma capuche. Je soupire alors et le pousse gentiment après être venu embrasser sa joue : « Bon c'est quoi le plan caïd ? » dis-je en haussant les épaules. Je tourne alors ma tête en direction du grillage en question et je me doute étrangement qu'il va falloir l’escalader.. et vite vue qu'il semble qu'il se mette à pleuvoir.

« Sérieusement ! De la pluie et puis quoi encore !! Des éclairs et un mec avec une hache à la main ?!!! » je m'exclame alors qu'on se rue vers la grille pour grimper, commençant déjà à être tremper. Nous rions alors en nous aidant mutuellement à grimper et je galère clairement en voulant descendre. Mais mon chevalier servant m'attrape la taille pour m'aider à sauter et je reste agripper à lui un instant, tapotant le nez du beau brun qui goûtait déjà, produisant des perles d'eau dû à la pluie. Quand soudain, un éclair vint éblouir l'obscurité, nous faisant lever la tête et je prend un air ébahie : « La blague du siècle !! » j'explose de rire en lui prenant la main alors qu'il se met à courir vers un lieu qui m'est inconnu quand je finis par détailler dans le noir une maison abandonner. J'avoue surtout penser à un abris pour la pluie plus qu'à me dire que je vais entrer dans cette bâtisse complètement flippante. La porte claque enfin derrière nos dos respectif et nous reprenons notre souffle. Andréas allume sa lampe torche et je retire mon gilet tellement plein d'eau qu'il en est trop lourd et me retrouve avec un haut à bretelle simple et un pantalon qui sont aussi humide l'un que l'autre. Je soupire en passant ma main dans mes cheveux et finit par regarder autour de moi : « Bon sang, mais faudrait qu'on m'explique pourquoi je te suis partout sans rien dire à chaque fois !!» je fais avec sarcasme en venant sans gêne et comme une habitude lui prendre le bras. Je sens que cette soirée va me faire encore des souvenirs loufoques avec cet homme merveilleux.
 


by tris
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MessageSujet ☆ Re: Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS   
le sujet à été posté Mer 16 Aoû - 16:43

J'ai vu en vous quelque chose de terrible, dans vos silence il y a une ombre terrifiante qui bouleverse tout ce qu'elle touche. - @Bleulivide
Do you want to be afraid ?
Il faut dire que parfois tu avais vraiment des idées complètement connes, des coups de folie qui sur le moment te semblais être quelque chose de drôle mais une fois sur l’instant présent tu comprenais que tu t’étais emballé trop vite. C’est ça le souci lorsqu’on trouve sa vie trop monotone, qu’on souhaite y mettre une pincée de piment sans faire attention à la quantité utilisée. Tu voulais te dépasser, briser les barrières qui t’entouraient aussi simplement qu’en les repoussant le plus loin possible. L’idée t’étais donc venue en regardant les explorations urbaines sur YouTube, aussitôt tu as été pris par l’emballement de faire la même chose, tu as trente-ans et tu n’as jamais fait ce genre de chose. Tu estimais qu’il était temps pour toi de briser le rôle de l’enfant sage qui te coller à la peau, recherchant donc des lieux abandonner dans la capitale, tu étais tombé une maison aussi mystérieuse que flippante avec le passé qu’elle avait. Tes tripes bouillonnaient d’impatience sans chercher plus loin tu envoies directement un message un Keira, pourquoi elle alors que tu pourrais être plus rassuré d’y aller avec un homme ? À vrai dire il n’y avait pas vraiment de raison, tu ne voyais qu’elle pour t’accompagner dans tes folies, vous étiez tellement similaire dans vos folies enfantines que cette solution était logique. Puis ça inscrira dans vos esprits qu’un bon moment de plus.

Tu es en retard, comme d’habitude, tu as mal géré ton temps et c’est en courant comme un dératé que tu vois les notifications de ses messages sans pouvoir y répondre. Tu vas te faire tuer. Sac à dos accroché avec quelques bricoles que tu gardes secret à l’intérieur, tu le maintiens contre ton dos pour ne pas qu’il tombe. Tu crèves déjà de chaud, tes cheveux collant sur ton front luisant, c’était une mauvaise idée d’enfiler ce gros manteau ainsi que le sweat fermé en dessous. Déjà que ce n’était pas facile de courir en jean, ta chaleur te handicaper d’autant plus. M’enfin vu le temps que la météo annoncée, tu ne pouvais pas te pointer habiller légèrement. Après plusieurs minutes de course tu finis par arriver dans la rue que tu lui as envoyés par message jadis, voyant que celle-ci n’est éclairé que par les rayons de lune, tu t’arrêtes pour fouiller dans ton sac à dos. Sortant une lampe torche tu continues le chemin à pieds, voyant de loin la brune, tu remarques que celle-ci est sûrement déjà en train de flipper. Tu ricanes, faisant tes pas plus léger pour la surprendre, un grondement se fait entendre et tu sursautes couper dans ton geste qui était de lui couvrir les yeux. Rapidement elle fait volte-face sursautant brusquement, hurlant à t’en péter presque les tympans, sans pouvoir te retenir tu pars dans un fou rire puissant.

« HO TOI !! Grognait-elle en te frappant le bras, ça va pas d'arriver comme ça !! »

La manche de son gilet te frappe plusieurs fois l’épaule secouée encore de ton rire, tu lui souffles des désolées du bout des lèvres de ton souffle saccadé par ton hilarité. Malgré sa frayeur elle finit par se joindre à ta gaieté, riant avec toi, vous finissez par vous calmer. Elle embrasse ta joue, te poussant après ça, tu lui attrapes l’épaule pour la tenir près de toi posant à ton tour un baiser sur sa joue. Dès que tu l’avais vu tu avais directement sentie cette connexion que vous aviez habituellement si facilement. Tu fourres une main dans les poches de ton jean abordant un petit air mystérieux lorsqu’elle te demande qu’elle est le plan te surnommant le caïd. Tu ricanes dans ta barbe avant de faire quelques pas pour observer la demeure promise à de grandes frayeurs.

« - Eh bien.. J’sais pas trop, je n'ai pas vraiment de plan.. Mais l’idée de te voir escalader le grillage avec tes petits bras me fait déjà rire. Déclares-tu pouffant légèrement avant de reprendre plus sérieux, On pénètres à l’intérieur, on fait le tour de la maison voir ce qu’il en restes puis.. On appels les esprits. »

La fin de ta phrase tu l’avais murmuré plus bas, espérant qu’elle ne la comprenne pas entièrement. Beaucoup de personnes pourraient être contre ça, toi le premier avec tous les films que tu regardais ça te foutais les jetons mais cette fois-ci tu es plus que motivé à surmonter tes peurs. Heureusement tu es sauvé par la pluie qui s’abat brutalement sur vous et la jeune femme à tes côtés exprimant son mécontentement.

« Sérieusement ! De la pluie et puis quoi encore !! Des éclairs et un mec avec une hache à la main ?!!! »

Malgré ton nouveau fou rire, tu te rues avec elle sur le grillage, ce n’est pas le moment de rester planté là à ne rien faire. L’escalade avait l’air plus simple sur les vidéos qu’en réalité, tu galères un peu mais heureusement ton binôme t’aide de ses petites mains. Tu retiens une plainte lorsque dans un mauvais mouvement tu sautes pour descendre, ton genou craquant droit bruyamment, tu le frottes quelques instants avant de l’abandonner pour aider la brune à descendre. L’attrapant par la taille tu l’aides à sauter, elle reste cependant quelques instants agrippé à toi, tu sens son odeur titiller tes narines, tu souris d’un petit air niais alors qu’elle te tapote le nez victime du temps, tu profites de cette pause pour remettre derrière son oreille plusieurs mèches de cheveux mouillés s’étant échappé.

« - Peut-être que c’est moi le mec à la hache, tu devrais peut-être me fuir love. »

Tes mains se resserrent légèrement sans que tu le veuilles autour de sa taille fine, un nouvel éclair brise l’instant. Te faisant lever la tête avec elle, elle ronchonne encore et tu lèves les yeux au ciel amusé. Ta main dans la sienne tu cours de nouveau, l’entraînant avec toi à l’intérieur, une fois dedans tu rallumes ta lampe torche que tu avais éteinte durant votre escalade. Tes yeux se perdent discrètement sur son corps frêle, vêtue légèrement à cause de la pluie qui lui a fait retirer son gilet. Un petit sourire en coin vient fleurir sur ton visage, est-ce qu’elle savait qu’elle était aussi belle ? Retirant à ton tour ton manteau mouillé pendant qu’elle regarde autour d’elle, tu retires également ton sweat zippé pour lui mettre sur les épaules. Remettant ton manteau mouillé à l’extérieur, ton corps est pris d’un frisson qui te fait hérissait les poils, tu passes une main dans tes cheveux mouillés pour les mettre en arrière dégageant ton visage .

« Bon sang, mais faudrait qu'on m'explique pourquoi je te suis partout sans rien dire à chaque fois »

Elle prend ton bras encore une fois secoué par ton rire, tu emboîtes le pas, la tirant avec toi dans les couleurs sombres de la vieille baraque. Tes lucarnes guettent un peu partout, observant les meubles poussiéreux que tu éclaires de ta torche puis les murs à la tapisserie jaunes et parfois tagués par des curieux comme vous. Te déplaçant au hasard, vous vous retrouvez au pied d’un escalier de bois poser en plein milieu d’un salon, tu éclaires le haut, déglutissant bruyamment. Bon okay, tu commences vraiment à flipper. Mais, hors de question de lui montrer tu prends ton air sur de toi alors que tu plonges ton regard dans le sien.

« - Tu me suis toujours parce que tu ne peux pas te passer de moi c’tout, little girl. Puis parce que tu sais qu’on va bien rire ! Réponds-tu lui tirant la langue avant de continuer, Tu veux commencer par où ? L’étage ou le bas ? »

Autant lui donner le choix, toute façon que ça soit l’un ou l’autre, tu te doutes bien que vous n’alliez pas garder votre courage bien longtemps. Un bruit se fait entendre derrière vous, tu fais directement volte-face, retirant le bras de la poigne de la jeune femme pour le passer autour d’elle la rapprochant un maximum de ton corps. Le rayon de ta lampe va un peu partout, guettant le moindre geste, tu retiens pratiquement ta respiration et lorsque le bruit claquant d’une boite de conserve tombant soudainement au sol, roulant jusqu’à vous. C’est à ton tour de sursauter brusquement, de pousser un petit cri pas vraiment viril. Cependant lorsqu’un rat sort de celle-ci tu fais quelques pas en arrière, ton nez se crispant par le dégoût que ça provoque chez toi. Tu poses une main sur ton cœur, ronchonnant dans ta barbe, tu devais affronter tes peurs. Pas te ridiculiser.





Dernière édition par Andréas M. Visconti le Dim 10 Sep - 2:55, édité 1 fois
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MessageSujet ☆ Re: Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS   
le sujet à été posté Jeu 7 Sep - 18:35





Do you want to be afraid ?

Lors qu’Andreas arrive et me surprend, je sens mon cœur près à se décrocher dans ma poitrine. Je le frappe avec la manche de mon gilet en m'excitant comme une furie alors qu'il est mort de rire... comme toujours, je finis par être emporter dans son fou rire et nous nous disons bonjour avec un baiser sur la joue et une étreinte. Je me sens bien quand je suis avec lui c'est dingue. Même s'il est plus âgé que moi, j'ai réellement l'impression d'être simplement une jeune femme, toujours dans la fleur de l'âge avec lui. Il me fait avoir des ailes et me donne envie de sourire comme personne. C'est une sensation que je ne veux jamais perdre.. et ça devient comme une drogue à chaque jour. Je lui demande quels sont ses plans pour la soirée et il prend son air le plus mystérieux en plaçant une main dans sa poche : « eh bien.. j’sais pas trop, je n'ai pas vraiment de plan.. mais l’idée de te voir escalader le grillage avec tes petits bras me fait déjà rire, répondit-il en tentant de garder son sérieux, on pénètres à l’intérieur, on fait le tour de la maison voir ce qu’il en restes puis.. on appels les esprits. » Je lui lance un regard en coin. S'il pensait me faire peur, c'était fichu. Il en fallait beaucoup plus pour m'effrayer.. ce qu'il ignore, cependant, c'est que je suis une grande fan de surnaturel.. donc il a taper dans le mille en me proposant ce plan.

La pluie se met soudainement à tremper et je vocifère. On se croirait presque dans un mauvais film d'horreur beaucoup trop prévisible. En riant, cependant, nous commençons à escalader le grillage, Andréas prenant les devant. Je galère. Clairement je galère.. Mais cette petite aventure avec un peu d'adrénaline m'excite énormément et lorsque Andréas m'attrape par la taille pour m'aider à descendre, je le regarde dans les yeux en tapotant son nez qui est recouvert d'eau, perlant au bout de celui-ci. Il sourit en replaçant mes cheveux derrière mon oreille, ceux-ci cacher sous ma capuche : « - peut-être que c’est moi le mec à la hache, tu devrais peut-être me fuir love. » ajoute-t-il. Je sens ses mains se resserrer autour de ma taille et mon sourire reste comme figer dans le temps tandis que je le regarde. C'est étrange comme j'ai l'impression que les goûtes flotte d'un coup. Quand je relève subitement le visage quand un éclair allume le ciel avec un bruit assourdissant. Je m'exclame alors avec sarcasme en prenant la main d'Andréas. Et c'est partis pour un sprint vers la bâtisse en riant main dans la main. Il manquerait presque le ralenti sur nos visage amusé... et une musique.

Une fois à l'intérieur, je soupire en retirant mes vêtements trempés et secoue mes cheveux énergiquement pour les sécher un peu. Les voilà en pagaille, complètement bouclé. Je regarde autour de moi, ne me rendant pas compte du regard de mon Bae sur moi. Je suis le chemin du faisceau lumineux et finis par me demander comment je fais pour toujours le suivre dans ces délires tout en lui attrapant le bras. Je le tire un peu pour avancer dans la grande baraque. C'est sûr que ça devait être une maison de malade quand ce n'était pas encore une épave. Nous arrivons au pieds d'un grand escalier en sale état et la lampe éclair l'étage. Je regarde du coin de l'oeil Andy. Ok il semble pas tellement faire le malin. Je souris en coin et serre un peu plus son bras : « - tu me suis toujours parce que tu ne peux pas te passer de moi c’tout, little girl. puis parce que tu sais qu’on va bien rire ! Répond-t-il en tirant la langue, tu veux commencer par où ? l’étage ou le bas ? » Je rigole et m'apprête à lui répondre quand un bruit nous fait nous retourner rapidement. La lampe cherche l'origine et Andy relâche son bras pour venir me serrer fort contre lui. J'ouvre de grands yeux quand il pousse un cri alors qu'une boîte de conserve arrive à nos pieds en roulant. Je hausses un sourcil alors qu'un rat en sort et que mon ami se met à reculer.

Je pouffe de rire et m'accroupis, chopant le rat qui veut s'échapper : « Moh qu'il est mignon » Puis je vois l'air dégoûter de Andy et rigole de nouveau en lâchant la bestiole à terre. Faisant face à Andréas j'avance d'un pas et pose mes mains sur mes hanches : « Aurais-tu peur ? Toi, ce mâle grand et robuste ? » je joue d'un faux charme et de sarcasme et frissonne en sentant un petit courant d'air venant de l'étage. Je regard vers le haut et souris en coin en recroisant le regard de mon ami : « Attention.. ce sont les plus faibles qui meurt les premiers dans les films d'horreur.. » je lui tira alors la langue en le poussant : « C'est toi le chat ! Ça te détendra peut-être POULE MOUILLER COT COT COOOOT » m'exclame-je tout d'un coup en me mettant à courir dans l'escalier, le faisant craquer dangereusement. Ce mec est incroyable et me fait devenir complètement démente.. quand je suis avec lui.. je n'ai peur de rien. Je me met à courir, l'entendant derrière moi sur mes trasses. Je m'enfonce dans le noir, ouvre une porte et reste cacher contre le mur juste à côté de la porte.. s'il l'ouvre, je serais juste derrière, prête à le surprendre. Je commence à apercevoir la lumière apparaître sous le pas de la porte.. Je me retiens de pouffer de rire et retiens ma respiration. Mon cœur bas à tout rompre, la pluie bat encore à torrent dehors et les éclairs me dévoile la pièce où je suis.. une très vieille chambre, terrifiante ainsi avec des toiles d'araignée partout et énormément de poussière. Cette soirée est terriblement excitante et j'adore ça. Ma poitrine se soulève au rythme de ma respiration et je frissonne à cause des goûtes d'eau de mes cheveux tombant dans mon dos. J

Un grincement, je l'entend.. il approche. Je pose une main sur ma bouche pour retenir ma respiration.
 


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MessageSujet ☆ Re: Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS   
le sujet à été posté Dim 10 Sep - 3:45

J'ai vu en vous quelque chose de terrible, dans vos silence il y a une ombre terrifiante qui bouleverse tout ce qu'elle touche. - @Bleulivide
Do you want to be afraid ?
En plus de vouloir te dépasser, briser la carapace de sagesse qui t’entoures, tu voulais aussi voir ta complice dans ses moments de frayeurs. Comment était-elle lorsqu’elle était vulnérable à cause de la peur ? Tu ne savais pas mais, tu désirer voir ça au moins une fois dans ta vie. Elle qui avait une apparence d’une femme forte et courageuse, il était rare que tu aies pu la voir dans ses moments de faiblesse. Ce qui t’intriguait terriblement. Tu espérais néanmoins que la situation ne s’inverse pas que ça ne soit pas toi qui passes pour l’effrayer de service complètement tremblant de peur en te réfugiant dans ses bras. M’enfin même si quelques petits sursauts te prendraient tu savais que ce que tu lui réservais pour la suite devait au moins lui faire peur, c’était ton défi de la soirée. Le bazar de dehors finalement dépasser vous vous retrouvez dans cette vieille maison, complètement tremper, essoufflé de votre course. Il est vrai que soudainement tu fais moins le malin, cette demeure immense devait vraiment être quelque chose lorsque des gens habitaient dedans mais, le temps avait passé et à présent celle-ci était plus terrifiante qu’autre chose. Alors forcément lorsque le foutu rat sort de nulles parts, tu ne caches pas ce que tu ressens sur le moment, en plus tu ne peux pas supporter ses bestioles-là. Elles te dégoûtent vraiment avec toutes les maladies qu’elles portaient sur elle. Ce qui contrairement à toi ne semble pas déranger l’autre aventurière qui s’accroupit pour attraper l’animal, elle déclare qu’il est mignon et ta mine dégoûtée s’accentue davantage. Tu notes d’ailleurs dans un coin de ta tête que la prochaine fois que les mains de la brune toucheront ton corps elle devra au préalable se les désinfecter. Elle relâche ton « bourreau » avant de se poser les mains sur les hanches devant toi.

« Aurais-tu peur ? Toi, ce mâle grand et robuste ? »

Relevant les yeux au ciel tu affiches une moue boudeuse, croisant les bras sur ton torse, tu hausses un sourcil un peu vexé en l’observant se jouer de toi. Tu te promets intérieurement de te venger en lui faisant la plus belle épouvante de sa vie, tu ne réponds même pas à ses petites attaques préférant jouer la carte de l’homme indifférent que rien n’atteint. Intérieurement c’est tout l’inverse, ton égo de mâle te hurles à quel point tu es pathétique.

« Attention.. ce sont les plus faibles qui meurt les premiers dans les films d'horreur.. »

Tu pousses un nouveau soupire en lui lançant un regard blasé puis tu finis par décroiser tes bras pour lui ébouriffer les cheveux d’un geste rageur légèrement enfantin mais, rapidement elle tire la langue avant de te pousser. Te hurlant que tu es le chat, que ça te détendra peut-être en n’oubliant pas de t’attribuer le surnom poule mouillée au passage. Tu écarquilles les yeux sous la surprise, tu la vois détaler dans les escaliers, entendant si dangereusement l’escalier grincer. Sans réfléchir tu te lances à sa poursuite avec aucune hésitation mais, la dernière marche, tu la manques brusquement. Ce qui te coupe dans ta lancée et en moins de deux secondes tu la perds déjà de vue. Tu lâches un nouveau juron avant de te redresser puis de ricaner d’un air fou, tu ne sais pas pourquoi mais, lorsque tu es avec cette fille tu te sens tellement différent. Toi qui avais peur il y a encore quelques minutes à cause d’une petite bête, sa petite folie a eu le don de tout te faire oublier, comme à son habitude. Aussitôt tu te remets à sa recherche, éclairant ton chemin, tu essayes de faire le moins de bruit que possible cherchant des indices sur sa cachette. Tu tournes en rond un petit moment passant et repassant devant les portes longeant le couloir. Tu finis par ouvrir une porte puis deux puis trois… Jusqu’à arriver dans une pièce tu entends un bruit dans la chambre voisine, souriant d’un air presque sadique, tu remarques une porte au fond de la salle. Un signe divin sûrement. Éteignant la lampe torche tu te fais plus silencieux, faisant un pas après l’autre aussi discret que la mort elle-même. Ouvrant lentement la porte tel un courant d’air pourrait le faire, tu attends un petit peu avant de pénétrer dans la présumée cachette. C’est lorsqu’un éclair déchire une nouvelle fois la pièce que tu découvres que les astres ne t’ont pas menti, tu la vois de dos, coller à cette porte sûrement frémissante à l’idée de te faire peur une nouvelle fois.

Avec précaution tu t’avances faisant bien attention à ne pas faire grincer le parquet, debout derrière elle, tu souffles lentement sur son oreille attendant le moment idéal, c’est-à-dire lorsqu’elle se retourne, que tu rallumes la torche en direction de ton visage n’oubliant pas de crier en même temps. Et quand son cri d’effroi brise le silence que tu pars à nouveau dans un fou rire, totalement victorieux. Une fois calmé tu l’imites, posant tes mains sur tes hanches.

« - Bah alors poule mouiller ? Tu as eu peur ? Demandes-tu sarcastiquement amusé, Toi ? Une femme si courageuse ? »

Tu poses une main sur ton cœur d’un air faussement dramatique avant de ricaner encore une fois, effectuant une petite danse de la joie, tu fonces sur elle pour la chatouiller en lui susurrant à quel point elle est une poule mouiller. Une fois ta petite torture et ta frustration passée, tu la laisses tranquille. Posant la lampe sur un meuble pour faire en sorte qu’elle éclaire toute la pièce tu lui fais signe de te suivre alors que tu te diriges vers le milieu de la pièce où tu prends place assis en indien. Retirant ton sac à dos tu farfouilles quelques instants à l’intérieur puis tu sors ta nouvelle acquissions, l’installant à même le sol, tu redresses la tête vers la brune en pointant l’objet du doigt.

« - Tu sais comment on utilise cette planche ? Demandes-tu un peu penaud, Au cas-où j’ai la notice, enfin les informations que j’ai trouvé sur internet. »

Plongeant les mains une nouvelle fois dans le sac après une longue recherche tu ressors un petit bout de papier où tu as écrit tout ce que tu as pu trouver en faisant des recherches. Tes iris passent en revue tes propres mots tu penches la tête sur le côté, te demandes si finalement c’est une si bonne idée que ça. Peu importe, tu es avec ta bae alors plus rien n’a d’importance.



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MessageSujet ☆ Re: Do you want to be afraid ? FEAT ANDREAS   
le sujet à été posté Jeu 12 Oct - 20:03





Do you want to be afraid ?

Cacher derrière ma porte, je colle mon oreille contre le bois vieux et essaie de ne pas respirer. Ne faire aucun bruit. Afin de lui faire la frayeur de sa vie. Je sens mon cœur tambouriner contre ma poitrine et je pose une main sur ma bouche pour ne pas rire. Je ne sais pas si c'est les nerf ou l'excitation qui me donne autant envie de rire... mais je sais que jamais encore de ma vie je n'avais autant rie que depuis que je connais Andréas.

Je le considère comme une bouffée d'oxygène. Tout me viens si naturellement avec lui et j'ai réellement l'impression d'être une jeune femme de 24 ans lorsque je suis avec lui. Puis lui, on dirait que je lui offre une seconde jeunesse. Il a toujours des idées saugrenues. La dernière, c'était cette histoire de Color Run.. moi qui ne suis pas sportive, j'ai courus avec plaisir. Nous en sommes ressortis de toutes les couleurs et mort de rire comme nous le sommes toujours. Je me souviens de chaque instant passé au côté de cet homme. Cet homme qui sait me rendre différente de tout ce que j'ai pu être jusqu'alors. Est-ce ce qu'il a vu la première fois en moi.. ou est-ce une réelle surprise pour lui aussi de me voir m'épanouir avec lui ainsi à chacune de nos rencontre ? Je ne saurais le dire.. et pour dire vrai, j'arrive facilement à me débarrer de tous mes questionnements lorsqu'il me regarde avec son air malicieux et son sourire aussi charmeur qu'affectueux. Je ne pensais pas un jour connaître une telle complicité... et surtout pas de telle frayeur dans un tel lieu !!

Toujours planquée, collée à ma vieille porte, je fronce les sourcils. Je n'entend plus rien... c'est étrange. J'ai comme le sang qui bouillonne et viens vriller dans mes tympans alors que mon rythme cardiaque semble être le seul bruit présent autant que le fond sonore de la tempête faisant rage à l'extérieur. Un éclair viens éclairer le porche où je me situe. Puis, un souffle me fait réellement frémir alors que je commence à me demander si ces lieux ne sont pas réellement hanté. Pour m'effrayer, il faut y aller.. mais tout de même. Je n'en menais pas large... mon regard essaie de voir derrière mon épaule mais je ne vois rien.. je ne ressens qu'une présence derrière moi.

Je me retourne alors, et pousse ce qui semble être le pire hurlement de ma vie en voyant un visage seulement éclairer d'une lumière vive, d'une manière effrayante aux premiers abords. Je finis alors par reconnaître Andréas, qui finit encore une fois hilare en me voyant dépité. Je suis comme essoufflée, haletante alors que je laisse mon rythme cardiaque reprendre une allure normal. Je le regarde poser ses mains sur ses hanches, m'imitant clairement : « - bah alors poule mouiller ? tu as eu peur ? Demandes-t-il, sarcastiquement amusé,toi ? une femme si courageuse ? ». Je me contente de le pousser avec un gloussement et dit d'une voix faussement énervé : « C'était moi qui était sensé te faire peur ! J'suis verte putain !! » je finis en riant et passant ma main dans mes cheveux en secouant la tête. Mon regard devient plus doux, le regardant alors. Je ne me rend jamais compte mais mon regard change toujours lorsque je le regarde dans les yeux. Je suis bien.. même si l'adrénaline rend cette soirée excitante !

Je me sens si légère, si libre ce soir. Comme si je me sentais vivre pour de vrai. Le vent qui hurle en moi ne pense plus à demain.Il est bien trop fort, j'ai lutté, en vain. Quand on prend de la hauteur tout semble insignifiant. La tristesse, l'angoisse et la peur m'ont quittées depuis longtemps.. et ça.. c'est grâce à lui. Je devrais me dire que c'est grâce à Arthur. Lui qui est si tendre,s i doux avec moi et qui me donne juste l'impression d'être une perle rare à protéger et aimer. Mais... en pensant à mon exutoire. Je ne vois qu'Andy. Je n'ai le temps de me plonger dans mes pensées que quelques secondes alors qu'il  commence à me chatouiller. Il sait que c'est un de mes points faibles et que j'ai horreur de ça.. mais je ne peux lui en vouloir. Il aime tant m'entendre rire, je le sais. Après cet instant de pure folie, Andréas vient poser la lampe sur une commode prête à tomber en ruine et sort de son sac à dos ce que je reconnais après quelques secondes être une table de Ouija. Je hausse un sourcil : « Mais où as-tu trouver ça ? Tu as de ces idées parfois.. » je soupire en levant les yeux au ciel : « - tu sais comment on utilise cette planche ? » me demande-t-il alors en la posant à même le sol. Je hausse simplement les épaules en m'approchant, la regardant avec plus de détail et répond : « D'après ce que j'ai vu dans les films, ça doit pas être bien compliqué » Je suis sceptique... il paraît que mal utilisé ça peut être dangereux.. enfin.. faut-il être croyant pour ça. Mais alors que je remonte mes prunelles en direction d'Andy qui fouille dans son sac, une envie furieuse de jouer avec lui et malgré lui me tente furieusement.

Il sort un papier de son sac en lisant ce qu'il y a inscrit pendant que je m'accroupie un instant pour regarder la planche au sol. Puis je me redresse et lui fait un sourire en m'appuyant à son bras pour retirer mes chaussures : « Bon.. t'es prêt à te chier dessus ou comment ça se passe ? Si on posait quelques petites questions aux esprits ? » je pouffe de rire et m'assieds en tailleurs par terre, en chaussettes. Je relève mon visage vers lui et penche ma tête sur le côté d'un air curieux : « Alors ? Tu me rejoins Bae ? » je demande avec un ton sournois et amusé, presque effrayant. Mon sourire ne quitte pas mon visage mais je ne peux ignorer mon cœur battant fort dans ma poitrine et ce frisson parcourant mon échine. J'espère vraiment que toutes ces conneries n'existe pas.. car sinon, nous serons deux à être de vrai lavettes.
 


by tris
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