[HOT] Stand by me [ft Keira]

Comme toujours, je me regarde dans le miroir et je me demande si je suis comme il faut, si je suis belle et si les gens ne vont pas me regarder étrangement dans la rue lorsque je sortirais.. lorsque je faisais le tapin, j'avais ma réputation mine de rien et j'ai eut quelques soucis récemment avec un ancien client qui m'a reconnu dans la rue. Il a voulu me faire du mal, me forçant et essayant de me demander pourquoi j'avais arrêter. Il m'a proposer un peu de drogue et d'alcool pour me détendre et m'a même tendu une énorme liasse de billet pour une simple pipe.. le truc de dingue. Je devais pas être si mauvaise comme pute.. mais tout ça c'est dernière mois. Steven, mon boss, a accepter de me laisser ma chance dans sa boîte donc je dois tout faire pour enfin prendre le bon chemin et faire les bons choix. Et Arthur fait partie de mes bons choix. Il est gentil avenant, charmant et lorsqu'il me regarde, je me sens comme chuter dans un vide totale.. il me trouble et me donne des frissons et je ne sais pas pourquoi son regard me donne l'impression d'être une personne plus belle que ce que je pense être.

Je regarde ma tenue et je me demande si il va aimer. Un bandeau noir cache ma poitrine car je porte une chemise en maille totalement transparente rentrée dans mon pantalon en jean noir. Je suis toujours plutôt mince, ayant du mal encore à me nourrir comme je le devrais.. lorsque j'étais dans la décadence.. j'étais vraiment maigre comme un clou et ne mangeais qu'à peine.. les choses n'ont pas tellement changer, mais mon corps s'habitue à manger de la nourriture et je ne suis pas en danger pour ma santé.. c'est ce qui compte.. des bottines viennent compléter ma tenue avec ce côté un peu rock (voir tenue). Je ne porte pas beaucoup de couleur.. ce n'est pas moi, ce n'est pas mon truc et je suis contente que cela ne dérange pas à Arthur. Il m'accepte comme je suis et me donne envie d'être féminine dans un sens. Malgré tout, le simple maquillage que je porte se trouve être un mascara et un trait de liner. Mes cheveux sont lâcher et j'ai essayer de les coiffés un peu.... c'est très mal fait mais je ne suis pas vraiment une pro en coiffure donc je m'en contenterais.

Me voilà devant chez lui, attendant une réponse alors que je viens de sonner à l'interphone. Pas de réponse..comme à chaque fois, mon cœur s'emballe dans ma poitrine. Peut-être s'est-il enfin rendu compte qu'il était trop bien pour moi et compte faire le mort jusqu'à ce que je comprenne que c'est terminé entre nous. Mais alors que je flippe comme une conne j'entends enfin sa voix et la porte s'ouvre devant moi. Je soupire, silencieuse et me rend jusqu'à son appartement. Je ne suis pas très expressive, mon visage témoignant d'une parfaite neutralité et sans grande expression.. c'est moi, on y peut rien. Mais tout se trouve dans mon regard et lorsqu'il ouvre la porte, un fin sourire se tend sur mes lèvres et je lève la main pour le saluer, presque timidement. C'est fou comme au bout de deux mois je ne suis pas encore totalement à l'aise.. on dirait un couple d'ado c'est puéril.. mais j'aime ça.

Il m'invite à entrée. Une fois la porte refermé, j'observe autour de moi. Nous avons eut beaucoup de sortis ensemble depuis que nous sommes officiellement 'ensemble' mais c'est la première fois que je vois son appartement. Ma mère et mon père l'ont rencontrée brièvement lorsqu'il venait le soir mais nous nous sommes toujours éclipser rapidement dans ma chambre.. je ne suis pas encore prête à ce qu'il rencontre ma famille. Puis... vivre chez mes parents n'est pas vraiment quelque chose dont je suis fière. Je regarde autour de moi en avançant dans le séjour et me retourne alors vers lui, lui souriant doucement : « Bonjour » dis-je en m'avançant vers lui nerveusement, pour déposer un baiser rapide sur ses lèvres. Chaque fois, je sens mon cœur s'emballer dans ma poitrine lorsque nous sommes trop proche.. car j'éprouve chaque jour un peu plus le désir lancinant et brûlant de lui arracher ses vêtements et d'autres images plus folle encore. Je suis clairement en manque de sexe.. et ce qu'il me fait ressentir chaque jour et à chaque fois qu'il me regarde n'arrange en rien mon état.

J'avoue penser à cette soirée depuis le début de la semaine... et oui j'avoue avoir aussi penser à CA plus d'une fois. Ce n'est pas ma faute ! C'est peut-être ça qui me rend encore plus nerveuse qu'à l'ordinaire.. Je me recule, me rendant compte que mon baiser dure plus longtemps que je ne l'avais prévu et qu'en plus je rougis un peu. Je me racle la gorge en déviant mon regard et dit en retirant ma veste, dévoilant alors mon haut transparent : « Alors... qu'as-tu prévu pour la soirée.. ? » je lui lance un regard en coin tout en visitant, glissant ma main le long du canapé en observant la décoration de la pièce.. pourquoi est-ce que je sens l'atmosphère s'emplir d'une note plus pesante et plus lourde... ? La soirée s'annonce.. particulière.
 

Une petite soirée tranquille en amoureux... pourquoi est-ce que cela continue de me faire un drôle d'effet. Je croise son regard et hoche simplement la tête avec un sourire réserver. C'est étrange comme je suis totalement différente en sa présence contrairement à celle que je suis lorsque je suis avec Andréas ou Eva.. Lui, il me fait perdre la tête, je ne sais comment me tenir, me comporter avec lui. Comme si j'apprenais de nouveau à marcher, respirer, parler.. ressentir. Je le regarde s'éclipser vers la cuisine et je reste planter là sans trop savoir quoi faire.. je dois me détendre. Mais je sens une sorte d'électricité dans l'air, une tension. Je dois me détendre.. mais je n'y arrive pas. Je tourne mon visage vers lui, qui atèle dans la cuisine en déboutonnant un de ses boutons de chemise dévoilant sa peau en dessous, fine et m'appelant doucement. Je détourne le regard.. Bon.. je décide de le rejoindre, sans qu'il ne s'en rende compte. Je me trouve à sa hauteur lorsqu'il me demande si j'ai des allergies et à sa hauteur je me contente de dire :

« Non. Ne t'en fais pas. »

Il se retourne et me fait alors face, appuyer au plan de travail avec ce qu'il préparait derrière lui. Mes bras sont croiser devant moi et mon visage est impassible. Est-ce que ça lui plaît.. ce détail chez moi ? Ce côté distant, mystérieux et glacial.. tout en témoignant d'une immense sensibilité ? Je ne sais pas... je me dis que c'est peut-être cette cassure en moi qui lui plaît. Cette blessure profonde que nous avons en commun lui et moi qui apporte cette tension entre nous. Le silence s'installe entre lui et moi alors que j'avance d'un pas vers lui, mes yeux se baladant le long des courbures de son visage en descendant vers ce bouton qu'il venait de défaire. Ma poitrine se lève et s'abaisse au rythme de ma respiration calme et lourde alors que je me retrouve à quelques centimètres de lui. Je décroise mes bras et glisse un main sur son torse, un doigt venant passer dans l'ouverture de sa chemise, très légèrement, comme une plume venant frôler sa peau. Mon regard suit mon mouvement comme le sien avant que je ne relève mon visage vers lui, m'attardant sur ses lippes qui semblent m'appeler comme un aimant.

« …ton cœur bat vite.. » je notifie en murmurant.

C'est étrange comme je semble doué dans ce genre de jeu.. dans ces moments là. Mais je ne contrôle pas mes gestes.. depuis ce premier jour où j'ai croiser son regard, le désir ne semble que m'envahir de plus en plus, à chaque instant. Je plonge mon regard dans le sien.. c'est étrange. Notre relation. Je ne sais pas si c'est de l'amour, si nous faisons les choses normalement... tout cela me semble si nouveau..Je suis sobre aujourd'hui depuis plus de 6 mois.. ni drogue, ni alcool. Arthur ne m'a pas encore vu en crise de manque.. ces crises se font de plus en plus rare d'ailleurs mais.. je ne veux pas qu'on me voit comme ça. Mes poignets ont bien cicatrisé également.. mais cette zone reste un point sensible chez moi. Je m'approche de ses lèvres, l'embrassant alors, doucement gardant une main sur son cœur. Ma main s'est frayée un chemine sur sa poitrine, sous sa chemise. Je sens sa chaire brûlante sous mes doigts fins et ma main libre vient glisser derrière sa nuque alors que je laisse ma langue rencontrer la sienne dans un baiser langoureux et fievreux.

Le baiser cesse.. me regard se fait plus chaud et chargé de désir :

« Tu as faim.. ? » je demande dans un souffle

Faim... moi oui.. de ses bras. De ses baisers. De lui.
 

J'oubliais parfois que Arthur était un homme, un vrai. Nos 8 ans d'écart se voyait légèrement parfois, mais en cet instant, il faisait moins sensible, moins bon enfant qu'il pouvait avoir l'air d'ordinaire mais.. c'était un homme qui réussissait à me faire un effet que je ne me pensais pas capable de ressentir. Lorsqu'il saisit mes cuisses, j'ai le souffle coupé, prenant une grande inspiration.. c'est comme si sentir ses mains était encore trop peu. Comme si avoir ce jean pour séparer le toucher de ses mains sur ma peau était encore trop peu.. J'ai envie de plus... cela peut se lire sur mon regard alors qu'il embrasse mon front pour venir ensuite poser ses mains de part et d'autre de mes hanches. Il me demande si je ressens la même faim que lui et sa façon de prononcer ces mots me font frissonner. Je hoche simplement la tête, venant mordre ma lèvre inférieur en souriant avec malice et je viens alors déboutonner d'une main un premier bouton de sa chemise.. J'ai envie de lui, j'ai envie de lui contre moi, en moi. Je n'en peux plus, je suis au bord de l'implosion. Je me retiens, je me retiens pour ne pas lui faire peur en lui montrant comme je brûle de lui arracher sa chemise. Je ne veux pas qu'il soit timide avec moi, qu'il se retienne... plus maintenant. La glace est brisé :

« Tu veux qu'on aille dans la chambre... ou... » je commence sensuellement et m'approche de son oreille : « Peut-être que tu préfères rester ici.. »

Ma voix est déjà haletante et j'ai horriblement chaud dans ce jean et ce haut. Je finis par arriver au bout de ses boutons et viens alors glisser ma main sur son torse, descendant en définissant ses abdos pour glisser un doigt, agrippant son jean en le tirant vers moi. J'embrasse ses lèvres alors dans un baiser fiévreux et langoureux, beaucoup plus intense encore que le précédent et je l'agrippe à la nuque avant de faire glisser sur ses épaules sa chemise avant de la jeter à terre. Je sens la chaleur grimper dans mes reins et mon ventre et lorsque notre baiser cesse, je plonge mon regard dans le sien et prend ses mains pour le guider en les posant sur en bas de mon haut. Mon regard lui indique de le retirer et je lève les bras tandis qu'il passe mon top au dessus de ma tête dévoilant mon bandeau noir à dentelle et mon ventre mince. Je suis encore très mince, ne mangeant pas encore autant que je le devrais et ma peau est couverte de cicatrice de mon passé :

« J'ai envie de toi.. » je souffle en tirant sur sa ceinture.

Alors, je souris. Mon regard brille et je m'arrête un instant pour venir caresser son visage, le détaillant et je glissant mes doigts dans ses cheveux. Puis, je viens déposer une baiser sur ses lèvres en gardant une main dans ses cheveux. Tandis que ma main libre viens saisir la sienne, mêlant nos doigts comme un vrai couple. Puis, je relève nos mains et pose sa main sur ma taille. Je frissonne à ce contact et relève mes paupières lourdement vers lui. Ainsi, je lui fais comprendre à quel point j'en ai envie, à quel point il n'a pas à se retenir, à quel point nous en avons tous les deux besoins.. car oui. J'ai besoin de sentir ses baisers, ses mains.. Je suis bien. J'en veux plus.
 

Il veut rester ici.. bien, tant mieux. Car l'idée m'excite d'autant plus surtout lorsqu'il me dit qu'il ira où bon me semble. Je me sens désirée comme jamais.. je sens son regard sur moi. Tout cela est tellement nouveau pour moi. J'ai l'impression d'apprendre ce que cela fait réellement d'être toucher et embrasser de cette façon. J'avoue, lorsque j'étais prostitué, j'aimais parfois la façon dont les clients me baisaient et me négligeaient. Il y avait quelque chose d'excitant, faisant monter une adrénaline qui menait à un orgasme presque non voulu et coupable. Mais là.. tout est différent. Je le ressens non seulement dans mon bas ventre, mais également dans ma poitrine, dans ma tête. Tout tourne autour de moi, j'ai le vertige et je me sens prête à tomber dans ces bras pour qu'il fasse de moi ce qu'il désire.

Mais c'est encore plus beau que ça.. car il y a un partage, une connexion qui se forme et pour dire vrai.. j'adore ça.

Je lui murmure comme j'ai envie de lui et je frissonne lorsque ses doigts viennent glisser dans mon dos et passent sur le tissu de mon bandeau. Il me demande alors s'il peut me le retirer et je souris en coin alors en hochant la tête tout en glissant mes mains sur son torse nu, me dirigeant vers sa ceinture. Je baisse mon regard et commence à apercevoir une bosse se formant par dessus son pantalon. Je me mords la lèvre alors en laissant entendre par dessus le silence le bruit de sa ceinture que je défais. Enfin, je la fais glisser alors que la prend de chacune de mes mains. De là je passe la ceinture derrière sa nuque pour l'attirer à moi d'un coup en l'embrassant fougueusement et langoureusement, laissant glisser ma langue sur la sienne. Je termine le baiser en mordant sa lèvre inférieur et dit chaudement :

« Fais de moi ce que tu veux.. je suis toute à toi love.. » je soupire alors en laissant tomber la ceinture à terre.

Mon bandeau vient passer au dessus de ma tête, dévoilant ma poitrine ronde et de taille moyenne.. Un frisson parcours mon dos, tandis qu'une respiration viens soulever mon buste qui dévoile alors aux yeux de mon amant leur courbure parfaite. Il vient glisser ses mains sur mes hanches et de mes mains, je soulève mon bassin en m'appuyant au plan de travail pour qu'il puisse faire glisser mon pantalon à terre. Remontant, il dépose un baiser sur l'intérieur de ma cuisse ouverte et je bascule ma tête en arrière en poussant un soupire, me mordant de nouveau la lèvre. Si nous pouvions être au ralenti.. ce serait le cas. Je suis désormais seulement vêtu d'un shorty en dentelle noir, transparent et qui est pour moi encore de trop. Je sens la chaleur entre mes cuisses me tirailler, humidifiant délicieusement le seul tissus qu'il me reste.

Je vois son regard, lui qui est encore beaucoup trop vêtu. Mais j'aime ça. J'aime le fait d'être si fragile à ses yeux et d'être dans ses filets. J'aime pouvoir me sentir totalement sienne et qu'il me possède en un simple regard. Je me rapproche de nouveau de lui. J'ai envie de le voir rougir, de le voir prendre du plaisir et d'en être la responsable illégitime. Je passe une main derrière sa nuque, frôlant ses lèvres en le regardant droit dans les yeux tandis que ma main libre glisse sous son pantalon, venant saisir par dessus son boxer ce qui me semble être le fruit de son excitation. Je presse ma main, passant mon autre dans ses cheveux et lui soupire dans un baiser :

« Je veux te sentir.. en moi.. que tu me possèdes entièrement.. »

Est-ce une demande, un supplice ou juste un fait. Je l'ignore, mais je ne veux plus parler. Plus de mots, juste des actes. Je viens emprisonner ses lèvres, commençant à caresser sa virilité par dessus sa prison de tissus qu'est son boxer. Mais j'aime jouer.. je veux qu'il apprenne à aimer jouer avec moi. Je veux connaître ses points faibles, ses supplices et ses délices. Je veux tout connaître de son corps, de son cœur. Je veux ne faire qu'un avec lui cette nuit. Je me sens flotter.
 

Sa voix me rend folle. Mon esprit divague et je sens un vertige m'emparer témoignant de l'intensité de mes émotions. Depuis quand n'ai-je pas goûté au plaisir de la chair ? Je ne me souviens même jamais avoir ressentis telle chose. Je me sens en sécurité.. en harmonie et désirée. Ses baisers descendent le long de ma nuque, sur mon épaule. Je frissonne, mordant ma lèvre inférieur en baissant lourdement mes paupières. Ma poitrine monte et descend au rythme de ma respiration déjà haletant de désir. Mes seins l'appellent, le réclame tandis qu'il les comble de milles baisers. Ses baisers qui se mirent à descendre sur mon ventre menu. Un décharge électrique me parcours alors qu'il souffle sur mon nombril.. je soupire de plaisir et alors qu'il se met à genoux, je devine déjà ce qu'il veut faire. Je baisse mes yeux vers lui.. rougissante déjà.. nous sommes si intime, si proche.. tellement en symbiose que la peur m'envahit autant que l'excitation. Est-ce le bon moment, est-ce le bon tout court ? Je l'ignore.. je ne sais même pas si je l'aime... est-ce que je l'aime ? Qu'est-ce que l'amour.. je ne sais plus réfléchir.. encore moins alors qu'il se trouve là entre mes cuisses.

Me voilà nue. Complètement nue face à sa vue et totalement dévoilée. Je suis plus rouge que jamais, mais alors que ses caresses me procurent soudainement le plus intense des plaisirs, voilà qu'il m'appelle ''mon amour''.. je croise son regard, le mien déjà humide d'un plaisir exquis. Je ne sais quoi répondre à cela.. dois-je l'appeler mon amour ? Suis-je de ce genre de fille à donner des surnoms affectueux à leur petit ami ? Non.. je ne m'en sens pas capable. J'aime son prénom, j'aime savoir que cet homme, Arthur, est mien. Je ne veux pas lui donner de surnom mielleux qui me donnerait l'impression sinistre d'être une adolescente en chaleur.. mais dans sa bouche.. cela sonne divinement bien. Tendre, chaud... brûlant de sens. Je hoche la tête, soupirant alors en gémissant un oui que je ne peux contrôler.. ayant presque honte qu'il me voit ainsi, en pleine lumière. Je commence à regrette cet endroit saugrenue pour notre première fois.

Son souffle chaud s'approche de mon intimité déjà brûlante et prête à l'accueillir en moi. Je mes mains à plat contre le plan de travail, je me cambre, basculant ma tête en arrière, mes cheveux long et bouclée tombant dans mon dos, me chatouillant légèrement :

« hm.. je te veux. Je te veux tout entier à moi. Et.. je..veux.. »

Je souffle, alors qu'il commence à me torturer, ne me laissant pas finir ma phrase. Je ressent alors sa langue experte, mes bras tremblent sous mon poids alors que je ne retiens plus vraiment mes gémissements. J'ai chaud, terriblement chaud. Il me torture, me frustre en ne me donnant pas ce que je veux vraiment tout de suite. Je le veux en moi.. je ne peux pas attendre. Je le veux maintenant. Je n'en peux plus. Mais son expérience me rend dingue. Je me retrouve le dos presque complètement contre le plan de travail. Ma main viens, par réflexe glisser dans ses cheveux et je me mord la lèvre alors que je me sens prête à exploser. Je vais venir, je le sens. Mes gémissements se transforme en un râle de jouissance très audible. Ma respiration est haletante. Je sens qu'il va me perdre.. ma tête tourne, je vais partir dans un monde à part. Je le stoppe alors en le tira par les bras pour qu'il arrête et revienne à m hauteur. Du pouce j'essuie ses lèvres et les empare dans un baiser fievreux et langoureux, collant mon corps au sien alors que je descend son boxer de mes mains libre.

Nous voilà à égalité. D'un main, je viens à mon tour le caresser en détaillant sa virilité et en appréciant sa douceur, sa durceur. Je le torture à mon tour un peu dans mes caresses et le dirige, prête à l'accueillir à la barrière de mon intimité.. un mouvement de part, et nous ne ferons qu'un :

« Fais-moi l'amour... Love. » je souffle entre ses lèvres.